vendredi, décembre 14, 2007

Le problème, c'est qu'il a souvent raison...
La réponse est d'envergure; il gagne presque le combat
jusqu'à... la sélection...
Il n'empêche, la seule critique qui l'offense vient d'un interlocuteur en particulier
et je me dis que, grâce à internet, la grande époque est revenue!
Nous aurons désormais droit au joutes littéraires,
comme en d'autres temps...

En somme, j'étais à deux doigts de laisser un commentaire,
mais il a perdu. La jeunesse prend le dessus. Car il est plus jeune,
ça, c'est certain.

jeudi, décembre 13, 2007

Détails exaspérants

En allant prendre le bus, ce soir, je me disais qu'il me faudrait faire la liste des motifs de stress :

1. Voir passer un bus ou un métro sous son nez
2. Oublier quelque chose dont on a besoin chez soi ou sur son lieu de travail et être chez soi ou sur son lieu de travail
3. Ne pas lire ou écouter un message à temps
4. Renverser quelque chose
5. Se faire mal
6. Avoir envie de dormir
7. Ne pas pouvoir fermer l'oeil

On verra si ma liste s'allonge avec le temps...

mercredi, décembre 12, 2007

Voilà ce que je demande à l'artiste, qu'il/elle me fasse découvrir un monde dans lequel je déchiffre certaines choses, d'autres pas; que l'envie me prenne de classer les sensations par ordre d'importance; que je puisse parvenir à y trouver quelques réponses... et que tout cela soit imaginé à dessein.

Dans son cas, c'est vérifié. Tant pour le dernier que pour le précédent (le dernier aurait une couleur de plus, difficile à définir), l'effet produit était l'effet recherché : nul hasard, prétention, facilité et tout ce qu'on voudra y ajouter.

"Tenía la sensación de poder hacer una película que pareciera tan sencilla y lineal que fuese casi transparente, pero que vista de más cerca, ofreciese un complejo entramado."
Positif - novembre 2005
http://www.zinema.com/textos/unahisto.htm

"J'avais l'impression de pouvoir faire un film d'une simplicité et d'une linéarité telles qu'il en aurait été presque transparent, mais qui, vu de plus près, aurait révélé un enchevêtrement complexe."

mardi, décembre 11, 2007

Féminité

Je pensais à ces femmes brillantes qui ont suivi de hautes études,
je pensais à celles qui accédaient au pouvoir pour leurs qualités (capacités) intellectuelles.
Je me disais que les femmes originaires d'Inde ou d'Asie
ou d'Afrique en particulier savaient être à la fois féminine et professionnelles,
que ce serait bien d'en arriver là, à un genre de femme qui n'a pas besoin de copier l'homme
dans sa façon de diriger, coordonner, gérer, organiser, décider... que sais-je? que les femmes ont tout à y gagner, et que le monde aussi aurait bien besoin de dirigeantes qui n'endosseraient pas le rôle de l'homme - tel qu'il est perçu par la femme (ou par son compagnon) -
mais celui de leur sexe. Du coup, les autoritaires seraient balayées d'un revers de manche.
Et il ne resterait plus qu'à "complexifier" intelligemment et à adoucir certains petits aspects de la politique.


Suis-je la seule à rêver de cette société idéale?

lundi, décembre 10, 2007

Paroles en l'air

Il y a longtemps que je veux l'écrire, celle-là :

On dit que les voyages forment la jeunesse; il ne faudrait pas qu'ils la déforment...

Et ce soir,

Il ne suffit pas de porter un enfant, il faut encore lui apporter quelque chose.

ou

La question est :

Que va-t-il faire de ce "tracker"? (Je ferai pareil, si je peux.)

vendredi, décembre 07, 2007

Concernant Christophe Atabekian

Dites, vous l'aviez lu, ça? Vous en pensez quoi de ce... conseil amical? Si vous ne voyez pas de qui je parle, n'hésitez pas à me le demander.

Rubrique Films préférés
"Bach is dead", de Christophe Atabekian. (Il pourrait y en avoir plus, faudrait juste qu'il termine les 15 films abandonnés depuis un an au profit des dîners entre amis et autres mondanités, (Atabekian pour finir un film, il faut qu'il soit au moins à 500 km de Paris)).

jeudi, décembre 06, 2007

dimanche, décembre 02, 2007

samedi, décembre 01, 2007

Quatre heures de danse, ce matin, avec Ana Eulate.
Bien-être physique... Un verre de Ribera del Duero pour fêter ça.
Dois noter, tout. Pour pas oublier la progression...
Très clair, très abordable, et drôle en plus.
Mettre tout ça par écrit, vite. Pas ici.
Trouver le temps, demain.
Ce soir, concert deXavi, enfin de Terry Riley, à l'Apolo.

jeudi, novembre 29, 2007

Un deuil pour tant de français/es...

En moins de deux mois, un cancer foudroyant a eu raison de Fred Chichin, le guitariste des Rita Mitsouko. En 1979, lui et sa compagne la chanteuse Catherine Ringer ont formé le groupe rock dont le plus gros succès a été le fameux Marcia Baila. Sortie en 1985, la chanson rendait hommage à Marcia, une jeune danseuse argentine emportée par le cancer. Suivront ensuite des tubes mythiques comme Les histoires d’A, C’est comme ça, Andy. Leur dernier album, Variety, sorti en avril dernier, leur avait permis de partir en tournée européenne. Mais les ennuis de santé de Fred Chichin, 53 ans, avaient dû contraindre le groupe à annuler certains concerts, dont trois en Suisse et deux en Allemagne. Et c'est la mort qui t'a assassiné Chichin...
(Le petit journal)

Je me faisais une joie de les revoir sur scène, tous les deux, unis comme les yeux d'un même visage.


Publicité

Ça me fait penser à un pianiste qui me disait au beau milieu d'un cours :
"Ce qui compte, ce n'est pas qu'on parle de toi, en bien ou en mal - il se référait à lui, à son oeuvre- ce qui compte, c'est qu'on en parle." J'avais repris le boogie-woogie (ou boogie-boogie, je ne sais plus), sur lequel je m'acharnais sans grand succès en essayant de comprendre le sens de ses mots, du haut de mes 13 ou 14 ans.

Du coup, je me souviens de "Rois et reines", de Arnaud Desplechin, toujours pas vu, même en dvd.

mercredi, novembre 28, 2007

Après l'ADN, on étudiera les synapses, non?
Celles que les gens ont ou non en commun...
Mais c'est sans doute déjà le cas.

lundi, novembre 26, 2007

Au coin du feu

Le pc musical, c'est comme une cheminée :
on se réchauffe à l'âtre, les yeux perdus dans le vague;
on dresse l'oreille; on s'approche ou l'on s'en éloigne,
et la chaleur des notes s'élève subrepticement
dans la boîte cranienne.

dimanche, novembre 25, 2007

Cela n'est pas nouveau, j'ai toujours envisagé le concept de "maison"
comme un lieu fermé à plusieurs sorties.
Je ne pourrais pas vivre dans un appartement ayant pour unique sortie
une porte d'entrée. Je souffrirais de claustrophobie.
Un appartement - à plus forte raison une maison - doit, à mon sens
être pourvu d'une porte d'entrée et d'une fenêtre ou porte-fenêtre
ouverte sur un autre espace par lequel s'échapper en cas d'urgence.
Il est vrai que mon enfance y est pour quelque chose.
Une maison dotée de deux escaliers : de quoi faire tourner en bourrique
le/la premier/e poursuiveur/se.
Il en va ainsi de tout...

Et puis je ne sors pas assez de chez moi.
Voyons voir, me disais-je en déambulant, que demande une citadine comme moi,
de mon âge, en 2007?
Qu'est-ce qui fait qu'une femme se sent bien dans une ville
et moins dans une autre?

Le fait de pouvoir se promener dans la rue, seule,
à n'importe quelle heure du jour et de la nuit.
Pas besoin de dessins.
Oui, mais cela ne suffit pas.
Chaque fois que je daigne m'éloigner de cette machine
qui avale 80% de mon temps libre depuis plus de deux ans,
chaque fois que je me souviens que le monde réel existe,
que tous ne sont pas derrière leur écran à chercher comment
accrocher une vidéo ou un texte - paix à ceux qui accrochent leurs extraits de musique -
avec ftp en réalisant qu'ils bénéficient d'un compte gratuit offert par leur serveur
pour "subir", "charger?" leurs précieux documents sur le réseau virtuel,
tâche qu'il m'incombe encore, après tout ce temps! honte sur moi! Oui.
bref, la rue m'émerveille.

Et c'est bien cela et rien d'autre qu'une citadine réclame,
ni plus ni moins que le paysan ou la paysanne (quand on l'autorise)
qui admire son environnement avec ravissement, sans pour autant oublier la dureté quotidienne, son labeur, les difficultés occasionnées par la vie,
qui regarde et s'unit, soit à la terre, soit au bitume... mais sent en lui/elle une sérénité
propre à ceux/celles qui pensent avoir trouvé leur place sur cette planète accidentée.

Donc, je reviens du port. J'ai navigué quelques heures, écouté des histoires de marins,
bu un peu de rhum et dégusté du saumon fumé fait maison, sur un 14 mètres.
La mer nous berçait, ce n'est pas toujours le cas, il existe un mouvement adéquat
qu'on a la chance ou non d'épouser, selon le temps, le vent et dans l'Atlantique, la marée.
Je prenais le métro pour regagner mes appartements. Un immense écran surplombe
les rails. Des nouvelles des Etats-Unis, en anglais, sous-titrées.
"Les 10 meilleurs présentateurs et programmes américains, clamait la propagande."
Je sais que personne ici ne regarde la télé américaine. Si la population ne consulte que
très peu internet, on peut imaginer le nombre d'habitants qui suit les programmes
du monde civilisé...
Le métro se fait attendre.
"Monsieur X - nom totalement étranger à tout ce qui existe ici - a vendu son coeur de bronze (avec photo du coeur en question, de quelques kilos semble-t-il) pour Y dollars."

Est-ce qu'ils ont fait une offre planétaire pour acheter les images et commentaires en soldes les plus rabaissés?
Est-ce qu'il s'agit seulement de faire tourner les têtes vers cet écran géant
pour captiver l'attention de l'usager pendant les quelques minutes d'attente?
Je regarde alentours. Je suis la seule à fixer ce panneau lumineux. Tous sont occupés à autre chose, discutent, baissent les yeux, téléphonent. Opération zéro. Fascination zéro.
Coût élevé, même après marketing.

Le métro arrive. J'ai besoin d'un café. Je m'arrête au premier qui affiche un nom autochtone.
Un Pakistanais me demande ce que je veux. Il a une voix grave et sèche dans ce mauvais jargon qu'il manie avec peine. Deux hommes m'emboîtent le pas et commandent une bière. Il parle dans sa langue. Son intonation et la douceur de ses cordes vocales attirent mon attention.
Je lui en parle. Il sourit.
"I speak english but I arrived one year ago, so I don't speak very well."
Son anglais est aussi doux que son pakistanais...
Curieux la langue et l'usage sonore qu'on en fait.

Para acabar, querría añadir una pequeña cosa que sólo los españoles pueden entender.
"-Me porté bien, verdad? Le pregunto.
- Sí. Mereces un premio. Es la primera vez que no montas un pollo despues de.
- Hace ya dos o tres años que me tranquillizé. Podía haber seguido una terapía hace 10 años
pero he preferido esperar a que se arregle con el tiempo..."

samedi, novembre 24, 2007

¿Libertad...?

De même que les disques sans intérêt ne se vendront plus,
les animateurs radio vont devoir se démarquer de la foule mélomane
pour continuer à émettre...
Plus de matraquages, d'ondes polluantes, l'individu est désormais libre de se concocter sa programmation musicale, de fureter dans les rayons de disques virtuels en bibliothèque légale,
puisque les artistes les ont eux-même accrochés (le problème est qu'ils n'y soient pas tous)
et de suivre des guides inspirés, mieux formés et toujours en avance sur les nouveautés.
Quelle belle nouvelle...
Et si tout sautait, comme le dit CA, ils seraient encore là, sur scène, à prodiguer leur baume thérapeutique.
La musique est le maître de tous les arts, son origine.
Vient ensuite la peinture, et le verbe qui ne sont peut-être que musique intériorisée.

On aime les enfants comme on aime les promesses.
La quantité à transmettre est infinie... opérer des choix, se nourrir sans cesse,
affirmer son peu de connaissance sans faiblir... chercher une ligne invisible pour support.

C'est par la mer qu'il convient de commencer toute géographie.
Michelet.

Bright eyes

Là,

vendredi, novembre 23, 2007

Anniversaires

Ça y est, ça commence mal, j'en ai oublié un, je crois, hier...
Un autre, avant. Carlos, Cécile...
Ensuite, c'est le défilé. Le 27, le 2...
Bon anniversaire aux "pinces" sans rire avec retard, et aux "cavaliers/ères du vent", à venir.

lundi, novembre 19, 2007

Peter Brook for ever

Vu Moderato Cantabile
de P. Brook
Sans commentaires.

Et Remarkable men
(son contraire, peut-être? Non. La suite, plutôt.)
Très belle idée, ce cycle, à l'Institut français. Pas mode, pour une fois.

dimanche, novembre 18, 2007

Consternation

Que le célèbre monologue d'Eustache puisse encore choquer certains esprits masculins toujours aussi arriérés, voilà ce qui est inquiétant.

Ça me donne aussi envie d'ajouter que les français se distinguent une fois de plus de leurs voisins en n'utilisant ce qu'ils considèrent comme insultant qu'au féminin, alors que dans la langue espagnole, par exemple, on trouve le mot dans les deux genres afin que les abruti(e)s mâles et femelles puissent en user à leur aise et réciproquement.

Pour laisser ce sujet raz-les-paquerettes à sa place (celle du "touche-pipi"), je préfère songer à Casavettes et à Godard. On dirait qu'eux, ils couchaient avec des femmes qu'ils aimaient assez pour avoir envie de les filmer. Hélas, pour beaucoup d'autres, il semble que l'effet recherché soit le contraire, ce qui ne donne pas tout à fait le même genre d'interprétation. Dans l'histoire, le cinéma est perdant.

Cela dit, la sélection de KMS est toujours aussi intéressante.

La seule chose qui soit désormais fausse, dans ce monologue, c'est que malgré le désir de procréer avec un être qu'on aime, on réalise que le monde n'a plus rien à offrir, et que, par égard pour lui/elle, mieux vaut peut-être s'abstenir.

samedi, novembre 17, 2007

Désaccord

Est-ce qu'on accusait Delon de ressembler à un modèle pour parfums et cosmétiques quand il interprétait Le Samouraï? Les filles étaient-elles moins belles, les intérieurs moins cossus?

Constat

Chaque fois que la france me file une claque,
l'espagne m'embrasse sur la joue.

J'hésite entre Persépolis et le Cronenberg...

jeudi, novembre 15, 2007

Ambition

Avant de partir, loin...
avant de quitter le continent,
je voudrais jouer... jouer...
travailler avec des gens
que j'ai toujours souhaité rencontrer.

mercredi, novembre 14, 2007

Lifip

J'ai mis Lifip en lien, (en haut, à droite)
reste à savoir s'il ajoute quelques belles photos...

D'ailleurs, comme dit C.A., internet, ça manque de femmes.
(peut-être qu'on les enferme dans leur cuisine? ou dans leur salle de bain?)

Bright Eyes "Tourist Trap"

Il y a quelques années, j'ai découvert ce groupe sur le blog de Zohiloff.
Aujourd'hui, je découvre une chanson de 2007 que j'aime bien...

Bright Eyes - "Tourist Trap"
It's not the road we used to know,
they tore some buildings down.
The traffic's like a pack of dogs.
There's fewer trees, windows, fleas,
concrete on the lawn.
There's people here, but you are gone.
And I'm fine, still swimming through time.
Afraid some days I've reached the shore.
Make yourself free, a man said that to me.
Now my heart is like an open door.
And the road finally gave me back
but I don't think I'll unpack
'Cause I'm not sure if I live here anymore.
It's not my weight that makes me faint.
for the sugar in my blood.
But the way these strangers stand so close.
They say my name, like a guessing game.
"Is that really you?"
No, I don't think it ever was.
In the spring,
when the world's turning green,
I only think about the fall,
or the frets on the board
a progression of chords.
Oh how I want this to resolve.
And the road finally gave me back,
but I don't think I'll unpack.
'Cause I'm not sure if I live here anymore.
Now the road finally gave me back,
but I don't think I'll unpack.
'Cause I'm not sure If I live here,
no, I'm not sure if I live here anymore.
I'm not sure if I live here anymore.

mardi, novembre 13, 2007

Travaille!

Là, "y'a pas photo", comme on dit par chez moi,
c'est le langage html ou rien.
Mais où trouver le temps?

"Sans cesse, sur le métier,
remettez votre ouvrage,
polissez-le toujours et le repolissez."

J'ai sommeil.
Et ce silence, ici et partout où je m'installe, m'ennuie prodigieusement.

dimanche, novembre 11, 2007

MySpace

Découverte: MySpace est une vraie invention.
Tant pis pour le lecteur que je ne pourrai jamais accrocher ici.

samedi, novembre 10, 2007

Inconnu au bataillon


Les Français ont la réputation de ne jamais répondre aux mails.
Mais peut-être aurons-nous droit à un commentaire,
tout de même, sur le trailer de FAQ de Carlos Atanes,
premier long métrage artisanal sorti en 2004 et désormais en vente...
(Enfin, on peut toujours les réclamer, les commentaires, non?)
Là,

Sinon, je suis bien d'accord avec Sabine, (qui met Tom Waits rendant hommage à ce mendiant décédé à la sortie de l'album... ma tête éclate en échos...), je disais, les meilleurs clips de Bowie, c'est Carax qui les a faits, , ou là, enfin, .

Ça, c'est pour l'abominable homme des neiges, grand admirateur de Ethan Hawke (pour répondre encore aux échos, ah non, j'ai trouvé ça, aussi, pour Monica.) Bon, ça suffit.

Non, pour KMS (et pour d'autres), je rajoute un dessin, du coup.


data=http://kmskma.free.fr/zplayer.swf?mp3=http://killme.sarahagain.free.fr/Enfant.mp33&c1=c0c0c0&c3=000000&down=1&vol=90"
width="200" height="20"/>value=http://kmskma.free.fr/zplayer.swf?mp3=http://killme.sarahagain.free.fr/Enfant.mp3&c1=c0c0c0&c3=000000&down=1&vol=90"
/>

mercredi, novembre 07, 2007

Egal à soi-même

Et dire qu'il y a des gens - qu'il en reste! - qui se reprochent d'être égaux à eux-même,
dans un monde où la plupart "perd la tête" (et aime tant le répéter à qui veut bien l'entendre, comme s'il s'agissait d'un motif glorieux), dans un monde où l'on se méfie de tous, craignant les accès, excès de retournements injustifiés, d'humeurs, d'opinions versatiles...
Un monde où être égal à soi-même, c'est à dire tout simplement se connaître, s'accepter plus ou moins, faire preuve de cohérence ou tenter de l'être semble s'avérer un objectif inaccessible, ambitieux et pour les amateurs de tv à deux sous, de mode - à qui la suivra en premier,
qu'elle soit absurde ou néfaste - un objectif qui n'existe même plus dans le vocabulaire.

Hommage à ceux qui se reprochent leur tempérance, leur constance, souvent bénéfique et généreuse, ceux qui ne suivent pas cette nuée désarticulée de girouettes ennuyeuses où malheureusement on se retrouve parfois, à son grand désespoir.

Il en faut des années pour effleurer le sens profond de cette petite phrase : "Connais-toi, toi-même". C'est à pleurer le temps qu'il faut pour comprendre certaines choses ou pour croire qu'on pourrait un jour les comprendre.

Il manque une photo, là... Mais je ne les pique plus sur la web et ne sais pas les faire.

Cette horloge qui continue à tourner sans grand horloger, disait Voltaire.

Le mal individuel fait le bien général, disait un autre (mais comme je ne suis pas certaine de l'exactitude des mots, je ne le cite pas. On le reconnaîtra peut-être. )

Là,

samedi, novembre 03, 2007

Ella tiene poder...

Nouvelle version offerte par Xavi Tort, .

jeudi, novembre 01, 2007

La cachette

Je me dis, mais où se planquer sinon là, dedans,
dans un abonnement. L'idée est géniale.
Conversations privées assurées.

J'aime bien le côté "j'ai trouvé une cachette!"
de ce machin encombrant qui réclame sans cesse l'attention,
ce truc informe, uniforme qui nous sert désormais de téléphone,
le côté labyrinthe (avec un "h", tiens donc) du bottin - pour ne
pas dire "butin"- actuel.

lundi, octobre 29, 2007

La Toussaint

Sont-ce ces fêtes qui me rendent si triste?
La Communion des Saints, les anges gardiens,
l'espoir qui brille tout au fond des yeux,
comme s'il s'agissait réellement d'un combat,
de longue haleine... Une épreuve qui requiert
endurance et sang froid... et qui ne s'achève
qu'au dernier souffle.

Est-ce cela vivre?
Il n'est pas là, lui, pour nous le répéter.

vendredi, octobre 26, 2007

En guise de réponse...

Brevet de secourisme, partie 1.
Partie 2, prévue demain à 9h.
Le temps de rien, juste ça...
Le mail arrivera avec un peu de retard à Montréal
mais la pensée y est. Pleine d'espoirs.

dimanche, octobre 21, 2007

Help

La clôture des registres d'inscription pour un concours,
c'est la date de la première inscription ou la date de la confirmation de l'inscription?
Quel charabia...

samedi, octobre 20, 2007

Et puis heureusement, on a des alliés :
naviguer (la mer)
écrire (même comme un pied)
et jouer (une semaine de représentation prévue pour 2008,
"du bonheur en barquette", comme on dit.)
Et s'en remettre à Dieu plutôt qu'à quiconque.

jeudi, octobre 18, 2007

Sondage

Quand tout va mal,
que faites-vous?

Moi, j'ai opté pour un massage cranéo-sacral...
et je vais chez le coiffeur, puisque c'est comme ça.

dimanche, octobre 14, 2007

bonnes résolutions

Avec des semaines ultra chargées :
prendre et donner des cours, basiquement,
mais aussi retaper superficiellement un appart,
plâtrer les murs contre l'humidité et ajouter un peu de pigment,
remède parait-il conseillé pour que les murs respirent.

Préparer les cours, apprendre un certain nombre de trucs par coeur,
notamment un texte de théâtre puisque la représentation aurait lieu,
à priori en avril, lire : deux ou trois bouquins à avaler au plus vite; une escapade
en France pour préparer le brevet de secourisme,
faire quelques sorties en mer (dois aller m'acheter un polaire
chez Décatlum)... et mettre toutes les paperasseries,
confirmations d'inscription à jour...

J'ai mal à mon genou gauche.

Surveiller le budget du coin de l'oeil.
Privations au programme. Me suis quand même fait livrer les dernières courses
pour copier cet informaticien qui ne perd jamais son temps
dans les grands magasins. Bien pratique pour les bouteilles d'eau.

15 octobre, je me redresse tout doucement en écoutant Tom Petty.

mercredi, octobre 10, 2007

Miedo

Je me dis, et si nous n'étions dorénavant fabriqués
que pour subvenir à nos besoins, à celle de notre couple,
éventuellement. Si notre ère était désormais le lieu où
chaque individu devait se "financer" son existence
du début à la fin.
Un être vient au monde, sa famille le maintient,
il travaille 40 ans et il doit "financer" les 40 années suivantes...

Les progrès de la médecine, le nombre d'années travaillées,
notre monde a changé et ne prend pas en compte ces paramètres.
Du coup, les "quadra", comme j'ai lu quelque part,
on a intérêt à faire des économies pour nos vieux jours...

Je ne sais pas. Je me demande ce qu'en pensent les autres.
C'est quoi, la retraite?

samedi, octobre 06, 2007

vendredi, octobre 05, 2007

À une autre époque - si lointaine à mes yeux - j'aurais passé mon week end à essayer de trouver le moyen d'envoyer un commentaire avec une belle photo. Peut-être suffit-il de chercher à laisser un commentaire pour qu'on vous demande d'y glisser une photo. Peut-être est-ce tout simplement cela. Juste "l'intention qui compte". Mais... c'est que ce serait une redite, une répétition... pourtant, comment faire pour... alors non, je ne peux même pas avoir l'intention de laisser un commentaire. C'est trop risqué.
Sinon, très bonne interview de Despentes dans La Vanguardía d'aujourd'hui.
Marrant qu'elle cite Barcelone...

Caprice

Parfois, j'aimerais bien mourir de vieillesse juvénile...

mercredi, octobre 03, 2007

Pensées

On peut tout penser, tout et son contraire.
On a cette faculté-là.
C'est basique de contrôler sa pensée,
encore faut-il la connaître
ou la reconnaître.

lundi, septembre 17, 2007

Dans la ville de Sylvie

Hum... je l'aime bien le dernier film de J.L. Guerin,
tourné à Strasbourg... au pays des comédiens...

Tout comme la pastorale d'E. Rohmer, d'ailleurs, fidèle à l'image que je m'en faisais quand je découvris ce genre, tombé dans l'oubli, et qui rejaillit sur nous avec tant de délicatesse.

Deux beaux cadeaux pour la rentrée.

Et je n'ai pas encore vu ceux de Hüseyin Karabey,
que nous avons précieusement rapportés de Turquie.

vendredi, septembre 14, 2007

Cifra mágica

Bon Anniversaire!!!

et aussi ...
toutes nos pensées affectueuses...

mardi, septembre 04, 2007

Tristesse aigue (où est le trémas?)

La seule chose qui me rende absolument triste,
c'est de sourire au moins une fois par mois...

jeudi, août 16, 2007

Et voici le Rohmer! Hum... j'en ai l'eau à la bouche.
Thanks, Mary!

mercredi, août 15, 2007

Combien serait-on prêt à payer pour une plante
qui se fume, se mange, se boit et parfume?

Vu Coup de Torchon.
Il y a du Renoir dans ce Tavernier-là.
Thanks, brother!

vendredi, juillet 27, 2007

Pensées en revue

Elle est belle, vraiment belle cette photo de KMS (en lien ici), prise à Avignon... elle me rappelle combien les projets sont longs à mener parfois. Elle redonne espoir aussi, un peu comme les bougies allumées à l'église de Santa Rita (la sainte qui exauce les cas désespérés) au pied de sa statue. Des centaines de petites flammes et autant de pensées vibrant à l'approche du passant...

Les vacances. Les vacances. Enfin les vacances...

dimanche, juillet 15, 2007

Vagabondages

Lu chez Zohiloff :

"Alain Badiou, philosophe, professeur émérite à l'Ecole normale supérieure "L''intellectuel de gauche va disparaître, tant mieux" LE MONDE | 14.07.07 | 12h05
L'intelligence politique et historique doit universellement remplacer la douteuse mémoire, proie désignée des propagandes."

Ayant vainement cherché à voir le dernier film de Carlos Atanes, à Terrassa, le film de sciences-fiction intitulé Proxima, j'ai un peu de mal à comprendre qu'un cinéaste catalan, auteur de deux pièces de théâtre, d'une douzaine de courts-métrages, d'un film relativement bien reçu à de nombreux festivals... un peu de mal à comprendre pourquoi ce cinéaste a autant de difficultés à montrer son second long métrage dans une salle centrale de Barcelona. Certaines sont équipées de projecteurs-vidéos, il ne s'agit donc pas d'un problème technique. F.A.Q avait eu la chance d'être projeté à l'occasion du festival DiBa, mais il semble impensable que les salles d'Art et d'Essai
soient si indifférentes au sort de ce Catalan si productif.


Tras haber intentado ver la última pelí de Carlos Atanes, en Terrassa, la película de ciencia ficción titulada Proxima, me cuesta entender cómo un cineasta catalán, autor de dos obras de teatro, de una docena de cortos metrajes, de una película que fue bastante bien acogida en numerosos festivales... me cuesta entender por qué este cineasta tiene tantas dificultades para enseñar su segundo largo metraje en una sala central de Barcelona. Algunas tienen proyector video, tecnicamente no es eso el problema. F.A.Q
tuvo la suerte de proyectarse dentro del festival DiBa, pero no podemos creer que las salas de Art et Essai
resulten tán indiferentes al porvenir de este productivo Catalán.

Quant au film Fast Food Nation de Linklater (celui qui racontait l'histoire de ce couple qui passait une nuit à Prague et se retrouvait dans un autre film, à Paris, 10 ans plus tard, avec les mêmes acteurs), pas un mauvais film... Disons que la critique est intéressante : seule la machine importe, broie tout sur son passage. On le sait mais que faire? Limiter le nombre d'employés des entreprises? Ces bouches à nourrir... cette viande... ces emplois dangereux et bien rémunérés, source d'enrichissement pour les immigrés... Bruce Willis qui crève l'écran. Drôle de film parce qu'assez doux dans sa cruauté. Un sujet qui plante un vrai problème de société.

Sinon, sommes allés écouter Alcool Fino au Sidecar, salle mythique restée très rock'n roll, sur la plaza real. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'ils ont la pêche!

Et, tiens, il y a ce genre de choses, au Monde, c'est pas mal...

vendredi, juillet 13, 2007

Clair-obscur

La fatigue entraîne de drôles d'idées idiotes
mais qui sont là... quand même...
Des idées comme, par exemple,
et s'il avait décidé de donner,
un peu à droite
et un peu à gauche,
je veux dire, systématiquement.

Bon, je ne sais pas...
Je voulais parler de thèmes tristes,
et puis je n'ai plus envie, finalement,
à quoi bon.

Le thème de KMS m'enchante, ce soir,
c'est peut-être ce qui me fait retrouver mon sourire,
ou bien c'est la bêtise du propos qui apparaît clairement,
avant de tracer ces petits caractères pour les faire jaillir.

La pertinence des propos, voilà à quoi je pense depuis quelques temps.

Un mot, une phrase ne devrait être prononcée que si elle est absolument nécessaire,
mais il arrive aussi que cette phrase essentielle ne soit formulée qu'après une série de verbiage, de babillages, de bredouillements incompréhensibles ou - pire - d'une platitude fâcheuse.
Dans ce cas, cette pollution verbale s'évanouit en un clin d'oeil après la déclaration tant
attendue, du style, "tu es belle, ce soir". Comme ça, exactement de cette façon-là, la dérive qui conduit à la vérité. Pour soi-même. Je suis à la recherche de ma vérité... et je ne sais pas par où commencer.
Musique! (Chez KMS)

mercredi, juillet 04, 2007

Help

Bien sûr, je m'adresse surtout à KMS mais à tous ceux qui auraient une petite idée.
Si vous étiez dj pour un mariage, quelles sont les 5 chansons ou interprètes
que vous jugez incontournables?


"Vide glaçant" de C2Z

dimanche, juillet 01, 2007

Vieillir

Toujours un plaisir de constater que deux copains ont bien vieilli,
Thomas, égal à lui-même dans L'ivresse du pouvoir, face à elle,
splendide, d'une impeccable cohérence...
Mais aussi Daniel, dans Mon meilleur ami, de Patrice Leconte
que j'aime bien parce qu'il a l'art de surprendre.
d'aller chercher des histoires alambiquées au possible,
qui laissent un arrière-goût de Fables.
Daniel s'inspire de ses 23-24 ans...
"Comédie douce-amère aux accents poétiques", écrit Le petit Journal.

mardi, juin 26, 2007

Interprétation

Je lui dis (je le tire du lit, il est 2h du mat) :
- Qu'est-ce que tu penses de cette photo ?
- Humm... je ne sais pas... elle est belle...
- Oui, mais qu'est-ce que ça t'inspire?
- Je ne sais pas... de la poussière... ça m'inspire de la poussière...

Il va se recoucher.

Jamais je n'aurais pensé à ça... de la poussière...
moi, ça m'inspire plutôt quelque chose d'inquiétant,
d'imprévisible, d'irréel... une force en présence...
que l'auteur rend volontairement flou
pour en cacher la violence éventuelle.

Un genre de paysage qui peut aussi bien s'assagir que tourner à l'ouragan.
On l'ignore.
C'est sur le fil... à la frontière entre deux états.
Mais "la poussière", c'est aussi quelque chose de révolu.

À moins que ce ne soit la pollution dont il voulait parler...
gaz toxiques immédiatement perçus dans son demi-sommeil d'homme sain.

Hum... de la poussière... à cause des couleurs, ces nuages que l'on confond avec quelque fumée nocive... des arbres aux contours indécis, avalés par cette masse gazeuse, respirable ou non.
L'oranger, improbable à cette heure.

Moi, ça me fait penser à une planète inhabitée, oui, peut-être imbibée de cette poussière galactique... un plan de sciences-fiction en somme... un monde inquiétant parce qu'inconnu.

Alors que... ce serait tout le contraire... non... ce serait pareil... inquiétant parce qu'inconnu (ou trop familier, ça revient au même.)

Je pense que je vais lui acheter celle que j'ai baptisé "vide glaçant" mais je ne suis pas sûre qu'elle y soit encore, qu'il ne l'ait pas détruite. Et puis, est-ce vraiment ma préférée? J'adore la femme auréolée qui baisse les yeux. Elle me fait penser à Oliveira. J'ai le même portrait en peinture, ici (même genre de femme, sorte de Vierge, baissant les yeux), un classique sans doute.

Non, je ne sais pas... il va pourtant falloir que je me décide pour en avoir une lorsque ce sera de nouveau possible. Mais une... comment choisir? J'aime l'anecdote du NON. J'aime les brouillards qui flottent sur la ville, et les chantiers colorés sous forme de composition, de nature morte. Bref, il faut que j'y regarde d'un peu plus près, et que je cesse de m'y intéresser pour déceler celle qui reste, celle qui remonte à la surface... mais elles sont si incrustées maintenant... les immeubles en construction, les fleurs... les portes vermoulues...

C'est trop tôt. Trop frais. Vais devoir attendre.

Bonne nuit.

vendredi, juin 22, 2007

Débat chez Assouline

Je rappelle : il ne faut pas lire les commentaires de Assouline,
ils sont à donner la nausée... alors que les post, eux, valent vraiment la peine d'être lus.
Comme ce dernier sur le concept de la "francophonie" (devenu péjoratif),
reléguée au rang de substrat de la langue française.

Comment peut-on ne pas être d'accord avec cette constatation?

Histoire

À consulter un de ces quatre, pour mémoire.

samedi, juin 16, 2007

citations

El movimiento no existe fuera de las cosas, pues todo lo que cambia, o cambia en el orden de la sustancia o en la cantidad, o en la calidad, o en el lugar.
Aristóteles (384 AC-322 AC) Filósofo griego.

(Le mouvement n'existe pas en dehors des choses, car tout ce qui change, change ou bien dans l'ordre de la substance, ou bien en quantité, ou bien en qualité, ou bien de lieu.)


Todo lo que se mueve es movido por otro.
Aristóteles (384 AC-322 AC) Filósofo griego.

(Tout ce qui se meut est mu par un autre.)

dimanche, juin 10, 2007

Farrelly brothers

En souvenir de There's something about Mary, un extrait de Dumb and dumber
Là,

mardi, juin 05, 2007

El principio

Alors, je sais à peu près ce que je voulais savoir...
Que Mary, si je t'avais sous la main à l'instant même,
je t'étriperais.
En même temps, c'est parfait. Je t'embrasserais peut-être,
oui, Mary, pour le coup du Erice.
Oui, c'est sans doute mieux. C'est sûr. Incontestable.
L'événement a eu lieu. J'avais quelques craintes. Si.
Mais non. (Ne me dites pas que dans le dictionnaire,
ils ont osé écrire évènement, au lieu de événement, si.)
Bon, ça non plus, ce n'est pas grave.
Les dictionnaires sont censés suivre l'évolution de la langue...
et de ses usages.

Je sais pour Erice, parce que ça correspond parfaitement,
sa description, ce qu'elle en dit. C'est exactement ça.

Bref, ça a eu lieu et c'est un début.

Sinon, je crois que je vais continuer ma sélection.

Jérémie, 22, 13

Malheur à toi, Joaquim,
tu te fais construire un palais
sans respecter la justice!
Tu y ajoutes des étages
sans respecter le droit des gens!
Tu fais travailler les autres
pour rien, sans les payer!
"Je veux me faire bâtir
un palais grandiose, dis-tu,
avec de vastes étages."
Tu y ouvres des fenêtres,
tu en revêts les murs
avec du bois de cèdre,
tu le fais peindre au rouge vermillon.
Veux-tu prouver que tu es roi
en choisissant le bois de cèdre
pour te distinguer?
Ton père mangeait et buvait
comme tout le monde,
mais il appliquait le droit
en rendant la justice,
et il s'en portait bien.
Il faisait droit au pauvre
et au malheureux,
et on s'en trouvait bien.
Celui qui agit ainsi
montre qu'il me connaît vraiment,
moi le Seigneur.
Mais toi tu ne regardes
que ton propre profit,
tu ne t'intéresses
qu'à faire mourir des innocents
et à pratiquer
une brutale obsession.

(...)

A sa mort il n'y aura pas
de lamentation funèbre;
personne ne dira :
"Quel malheur, mon frère!"
"Quel malheur, ma soeur!"
On ne le pleurera pas
en disant "Quel malheur, mon
maître!"
"Quel malheur, Excellence!"
On l'enterrera comme une bête,
on traînera son corps
pour s'en débarrasser
hors des portes de Jérusalem.

samedi, juin 02, 2007

Sélection

Puisqu'on ne me laisse pas accrocher ma sélection de photos préférées (la plupart détruites, en plus! De quel droit?), je vais passer à une autre sélection qui ne regarde que moi.

Luc 17
Le pécher et le pardon
Jésus dit à ses disciples :
- Il y aura toujours des faits qui entraînent les hommes à pécher. Mais
malheur à celui qui en est la cause! Il vaudrait mieux pour lui qu'on lui
attache au cou une grosse pierre et qu'on le jette dans la mer, que s'il
faisait tomber dans le pécher un seul de ces petits. Prenez bien garde!

Si ton frère se rend coupable, parle-lui sérieusement. Et s'il le regrette,
pardonne-lui. S'il se rend coupable à ton égard sept fois en un jour et
que chaque fois il revienne te dire : "Je le regrette", tu lui pardonneras.

Jean 12
Quelques Grecs cherchent Jésus
Quelques Grecs se trouvaient parmi ceux qui étaient venus à Jerusalem pour adorer pendant la fête. Ils s'approchaient de Philippe (qui était de Bethsaïda en Galilée) et lui dirent :
- Monsieur, nous désirons voir Jésus.
Philippe alla le dire à André, puis tous deux allèrent le dire à Jésus.
Jésus leur répondit :
- L'heure est maintenant venue où le Fils de l'homme va être élevé à la gloire. Je vous le déclare, c'est la vérité : un grain de blé reste un seul grain s'il ne tombe pas en terre et ne meurt pas. Mais s'il meurt, il produit beaucoup de grains. Celui qui aime sa vie la perdra, mais celui qui refuse de s'y attacher dans ce monde la gardera pour la vie éternelle. Si quelqu'un veut me servir, il doit me suivre; ainsi, mon serviteur sera aussi là où je suis. Mon Père honore celui qui me sert.

jeudi, mai 31, 2007

Mais tout ça ne me dit pas comment faire pour envoyer un fichier sonore en mp3 et winzippé à partir d'un cd sur lequel figure le fichier.
Je mets le cd, je l'ouvre, j'ouvre le fichier sonore avec i-tunes, je convertis le fichier en mp3. Mais où est-il enregistré ce fichu fichier. Pour le winzipper, il faut que je sache où les met i-tunes une fois convertis. Comment faire une copie de cd à disque dur sur i-tunes?
Bon, je vais essayer avec Windows Media, mais il faut ensuite l'ouvrir avec i-tunes pour le convertir en mp3.

Cela faisait des mois que je ne me prenais pas la tête sur cette machine-tête.de.bourrique.

samedi, mai 26, 2007

Emplettes


Charles de Zohiloff : photographies
du 1 au 7 juin
galerie Fin Avril

14 rue Deguerry, 75011 paris
vernissage le dimanche 3 juin à 15h


vendredi, mai 18, 2007

Et ça ?
vous en dites quoi?

Et puis, qui est Thomas Arthuis ? Un hasard, ce lien proposé ?

Hola...

Envie de raconter mes dernières aventures en informatique.

Donc, le pc plante et mes deux voyelles n'ayant jamais été retrouvées,
la compagnie qui me l'a vendu et à qui j'ai versé plus de 200 euros
pour une garantie de trois ans certifiée me propose (encore heureux!)
de me le confisquer trois semaines (à partir d'un mois,
avec l'obligation de m'en fournir un de rechange) pour me le remettre en état.
J'en profite pour grommeler qu'en plus, les "i" et les "u" se sont fait la malle,
et hop! je me retrouve avec un clavier tout neuf où je peux taper librement,
sauf que.... me croira-t-on? seules les lettres et les chiffres correspondent à
ce qui est écrit sur la touche.
Exemple : si je tape 2 points, c'est en appuyant sur Maj. et point.
Je découvre par la même occasion que j'ai mémorisé les touches et
que je ne regarde plus le clavier quand j'écris,
ou très peu, pour relire.


Petit répertoire personnel.

MAJ.
!"·$%&/()=?¿
Ç*¨_:;


90'¡
ç+´-.,



Sinon, à peine allumé l'ordinateur, je choppe une saleté qui s'infiltre dans un logiciel WinZip dont j'ai peut-être grand besoin si l'envoi fait à C.A n'a pas fonctionné... bref,
bilan des courses, je me retrouve avec un parasite Error Safe (rien que le nom, j'aurais dû deviner...) et je suis les conseils glânés sur Google pour essayer de m'en débarrasser. Mon écran s'ouvre sur -DOS, il éteint mon pc et le rallume... hum... l'icône du machin Error Safe est parti. Est-il détruit? Est-ce vraiment Matrix, à l'intérieur ?

Quoi qu'il en soit : "Bonjour chez vous!"



mercredi, avril 04, 2007

dimanche, avril 01, 2007

Al Sur

Malaga, by night...




...y by day.



En el Pimpi...



Marzo 2007... Manolo Santo guitarrista con su esposa Agnes Cordoba.

mercredi, mars 28, 2007

C'est dommage, j'avais écrit un texte respectable sur ce stage :
créer des liens, des ponts salutaires entre les choses.
devenir plus intelligent et rendre le monde plus intelligent,
favoriser une méthode (ou pédagogie.
qu'on pourrait qualifier d'individualisme collectif,
jouer sur les performances uniques de chaque apprenant,
rassembler les forces en présence de façon équitable,
oser dire que seul l'amour régit le monde,
le fait avancer ou reculer par manque ou par abondance...

Beau stage. Pas le courage d'accrocher une ou deux photos,
je suis vanée (poil au nez!)

mardi, mars 20, 2007

Des hauteurs


Ça m'a toujours étonnée qu'on construise (qu'on ose!)
construire des immeubles de plus de 5 ou 6 étages.
Les gens croient-ils fermement que la terre est stable?

Étonnant aussi que dans tous les films de science-fiction
où les villes sont souvent détruites à la suite d'un cataclysme quelconque,
les gratte-ciels de NY sont en général sur pied (en grande partie)
comme si l'homme avait réellement inventé
la manière d'adapter son architecture aux secousses de la terre...
Jusqu'à quel point?

Et si ce n'est pas le cas, pourquoi ce besoin de s'agglutiner
vers une sorte de point névralgique?
Pourquoi cette impossibilité de reproduire un centre,
presque à l'infini?
Pour les monuments, pour l'histoire,
pour la résistance des matériaux et leur assemblage savant,
ancien.
Sinon, pourquoi? Et pourquoi cette attirance vers le passé?
Pourquoi cette défiance envers le présent, le futur, le progrès?

Il y a pourtant des villes qui s'étendent plus qu'elles ne s'élèvent,
goût ou coût? A quoi tout cela est-il dû lorsque la ville n'est pas enfermée
par des barrières naturelles?

lundi, mars 19, 2007

Le pot aux roses


Et le temps passe et ... personne ne s'en rend vraiment compte...



Tiens, j'ai appris une belle expression québécoise, aujourd'hui :
"pelleter les nuages" qui serait le contraire de "aller droit au but"
ou synonyme de "tourner autour du pot (aux roses)".



Et je peux continuer ici, mais la photo reste
où elle est, enracinée dans son code html, les souris courent et l'image reste impassible.

Des fleurs. Rien de mieux sous la main.

On ferait mieux d'utiliser des bouquets comme calendrier. Un par semaine.

Qu'est-ce que devient la tige et ses feuilles, une fois la fleur fanée? Combien de temps ça met à jaunir, à pourrir, à se dessécher, à partir en lambeaux? Combien de temps faut-il pour oublier?

mardi, mars 13, 2007

Vu The host. Quelque chose de la Guerre des mondes, non?
Et Paris, je t'aime (ça ne m'a pas donné envie de revenir...)

lundi, mars 12, 2007

dimanche, mars 11, 2007

Ignorance

Je veux pas savoir, je veux pas savoir, je veux jamais savoir, je veux rien savoir, je veux jamais savoir, je veux pas savoir.

samedi, mars 10, 2007

Le bourrin et la greluche

À propos du débat Hommes-Femmes,
moi, je vois plutôt le monde peuplé de bourrins
et de greluches contre tous les autres.
Les bourrins sont bourrins avec les hommes et les femmes.
S'ils tombent sur une greluche, ils la traitent comme telle.
De même, la greluche le traite comme un bourrin
et se comporte comme une greluche.
Jusque-là, tout va bien puisque la greluche en est une,
que le bourrin en est un et qu'ils forment la majeure partie des êtres humains.

Là où ça se complique, c'est quand le bourrin rencontre une femme
et que la greluche rencontre un homme.
Le bourrin se comporte en bourrin et la femme se plaint (ou devient greluche).
La greluche se comporte en greluche et l'homme s'en plaint (ou devient bourrin).

Nonobstant, la greluche se comporte aussi en greluche avec les femmes
et le bourrin en bourrin avec les hommes.
Le bourrin et la greluche ont des points en commun,
ils sont cons par nature et détestent les minorités
(hommes, femmes mais également homosexuels, juifs, arabes... etc.
qui comptent eux aussi leurs lots de bourrins et de greluches).

Le bourrin et la greluche font souvent des enfants
et les élèvent selon leurs principes de bourrins et de greluches.
Si le bourrin fait un enfant à une femme,
en général, ça se passe mal et il lui tape dessus.
Si la greluche fait un enfant à un homme,
en général, ça se passe mal et elle lui reproche de ne pas gagner assez d'argent
ou l'humilie de toutes les façons imaginables.

Il est vrai aussi qu'en chaque homme sommeille un bourrin
et en chaque femme, une greluche...
mais il arrive qu'un homme ait des tendances greluche
et une femme, des tendances bourrin.

Quand l'homme à tendance greluche
rencontre une femme à tendance bourrin,
en général, ça se passe bien,
et les enfants ont des chances de devenir
des hommes et des femmes,
condamnés à être maltraités
par les bourrins et les greluches.

Voilà pourquoi cette histoire de journée de la Femme est un scandale.
Ou alors, qu'on fasse un jour de la Greluche,
puisqu'en effet, le bourrin a le dessus sur elle
et sur l'ensemble de la population.

Vus et approuvés

Temps real de Magda Puyo (à couteaux tirés, c'est le cas de le dire!)

Homeland de Roberto Oliván (danse cirquée, très beau...)


À voir, demain sans doute : Folie en famille de Ricard Gazquez, à la Sala Beckett

jeudi, mars 08, 2007

Entre les deux, mon coeur balance

Toujours pas compris pourquoi un Jour de la femme et pas un Jour de l'homme...
Alors, bien sûr, il y a ça (dont j'ai déjà parlé) envoyé par Martin Edenik, lequel salue Marta et Carlos au passage et pour l'homme, ça ou ça. Du coup, on a l'embarras du choix...

Photo de Yo

mercredi, mars 07, 2007

Reconstitución (única experiencia de chat)

Photo de Yo



- Hola, Alex, ¿en qué te puedo ayudar?
- Hola Ayuda, estoy intentando descargar archivos pero va muy lento.
- Ah... puede que sea la velocidad de tu conexión... ¿Tienes adsl?
- Pués, sí.
- ¿Ké velocidad?
- No sé...

- ¡El fuerte abusa al necio!

- ¿Y hace tiempo que descargas archivos?
- Más de una hora.
- No, amigo, te pregunto si hace tiempo que sueles venir a descargar... Porque yo, no veas, empecé a los 14 y hoy mi casa está llena de trastos, tanto que no me queda sitios para andar... Ya sé ke ahora, todo el mundo juega con la informática, incluso los ke no saben nada pero en mi época, era diferente, aunque lo bueno es que todo era más caro, jé, jé...
O sea, ¿estás descargando algo desde hace una hora? ¿Ké tamaño tiene la cosa?
- 7 Mb. ¿Dónde veo la velocidad de la conexión?
- Pon el ratón en las pantallas de abajo. Está escrito bien claro.
- ¡Ah sí! 2 Mbps.
- ¡Anda, estás de broma! ¿Sólo 2 Mbps?
- ¿Es poco?
- ¿Poco? ¡poquísimo! Yo tengo 60, para ke te hagas una idea pero claro hay cosas ke no se pueden comparar...

- ¡Corre, que el diablo anda suelto!

- Bueno, Alex ¿cuántos archivos descargaste ya?
- No sé...
- Si miras en tal y cual párafo, lo sabrás.
- ¿Tal y cual párafo? A ver...
- Sí, vas aquí, abres esto, pon el ratón allí y verás.
- Lo estoy haciendo...

- Las apariencias engañan...

- Ya lo veo, hasta ahora, he descargado 300 Mb.
- Vale. Entonces es normal.
- ¿Sí?
Yo - Hola Ayuda, hola Alex, acabo de mirarlo también, tengo 910 Mb.
- ¿Lo ves?
- ¿Ké veo?
- Otros tienen mucho más. El sistema sirve más rápido a los que tienen más. Tú tienes poco, por lo tanto, te sirven después. Oye, Alex, ¿te puedo hacer una pregunta?
- Claro.

- No temer es huir ante el peligro.

Yo -
Aïe...
- ¿Te sientes sólo, a veces?
- Sí, como todo el mundo, a veces...
- ¿Cuántos años tienes? A mí, ya me da verguenza decir mi edad, jé, jé...
- 23. ¿Y no hay manera de acelerar el proceso para tener más archivos descargados en el histórico?
- Sí. Sí, hay una manera. Perdona, que estaba mirando si el disco duro externo funcionaba porque te dicen que va bien pero al final, siempre hay algo que falla... ¿Qué decías?
- Si se puede hacer algo para que vaya más rápido...
- Te fastidia, ¿eh? Normal. ¡Una hora para 7 Mb! Hasta con un caracol irías más de prisa. Y necesitas ayuda, por eso me preguntas y por eso me llamo así. Has tocado en el clavo, Alex. Por cierto, ¿dónde estás? ¿de qué parte de España?
- Ahora, estoy en el Sur.
- Ah, ké bien. Al ladito del mar. Me muero por ver los campos y el mar. Aunque Madrid me encanta, hay que decirlo. ¿Y cómo ocupas tu tiempo?


- ¡Fuera, que ya llegan!
- ¡Socorro!

-
De momento, no hago gran cosa, me aburro más bien...
- Y por eso estás descargando cosas, al menos lo intentas, jé, jé... ¿Ké usas?
- ¿Cómo, ké uso?
- Quiero decir, ¿estás en windows xp, linux, ké sé yo...?
- XP.
Yo - ¡Aïe!
- Hola Aïe, ¿será tu nombre en este fabuloso chat, no? ¿Sigues aquí?
Yo - Sí.
- O sea, Alex, que estás en el Sur para tocarte las narices. ¡Vaya buena vida, tan joven! Suerte de no tener que pagar el alquiler porque por Madrid, los precios se han disparado y uno tiene que buscarse la vida como sea. Yo lo tengo aún más crudo con todo esos aparatos que invaden la casa. Supongo que el paro tiene sus ventajas.
- No, no estoy en el paro, trabajo en la milí.
- ¿Ah sí? ¡Mi abuelo también era en la milí y nos contaba unas historias de película! Me acuerdo perfectamente del tono que usaba para evocar a los soldados, sus hazañas, en fin... Es otro tema. ¿Y os pagan bien para no hacer nada?
- Unos 200 000.
- ¡Hombre, tampoco te puedes quejar, 200 000, es un buen sueldo.
- Sí, no digo nada al respecto.
- Ah, sí, es verdad, se me olvidaba. Quieres saber cómo hacemos nosotros para ké vaya 1000 veces más rápido.


- ¡El diablo anda suelto!

- Sí. ¿Hay una manera?
- Por supuesto que la hay. ¿Cómo crees que me espabilo yo para tener todo lo ke necesito en unos segundos?
- Pués, no lo sé.
- Es verdad, no sabes mucho de nuestros trucos, eres un novato, recién empleado, y aburrido de la vida. Bueno, como me caes bien y que soy la Ayuda personalizada, para gente como tú, ke andan perdidos en el laberinto de nuestros nuevos medios técnicos, te lo voy a contar pero ke sepas ke hay poca gente ke lo sabe y aparte, tienes ke seguir mis indicaciones al pie de la letra.
Yo - ¡Aïe!
- ¿Ké, aïe, todavía con nosotros por lo ke veo?
Yo - Sí.
- Encantado de ayudarle. ¿De dónde vienes?
Yo - De Bélgica.
- ¡Ah, Bruxelles! ¡El chocolate belga! ¿Múchísimo mejor que el de Suiza, verdad? Bueno, Alex, ¿por dónde ibamos?
- Por la manera de aumentar la velocidad.
- Ah sí, es ke me pierdo a menudo porque siempro tengo algo pendiente... no sé hacer una cosa a la vez. Parece ke el disco duro externo ha arrancado. ¡Por fin! Ya era hora... Entonces, vas a hacer exactamente lo ke te digo, ¿capito?
- Sí.
- El secreto está en un fichero ke hay ke descargar.
Yo - Aïe
- Se llama "Y". ¿Vale?
- Sí, lo estoy buscando.
- No, espérate. Primero, escuchas, luego, haces. Es ke tampoco tengo toda la noche para ti, entiendes?
- Sí.


- ¡Huye! El tiempo es tiempo!

- A ver, vas a buscar este fichero, lo descargas y lo pones en tus documentos, luego, lo vuelves a poner en su sitio. Y hasta.
- ¡Facilísimo, pero no sé como volver a ponerlo!
- Tranquilo... Aquí estoy, para guiarte. Lo único ke debes hacer, es seguir mis instrucciones. Dadas las circunstancias, tendriás ke saber hacerlo, o sino es ke realmente no haces nada, jé, jé, ya me entiendo. ¿Por cierto, crees ke Aïe nos sigue escuchando? ¿ Qué tiempo hace en Bélgica?
Yo - Frío.
- Ya me lo imaginaba. España tiene mejor clima, desde luego. ¿Alex, estás aquí?
- Sí.
- Perfecto. Podemos empezar. Busca este fichero.
- Lo veo. ¿Lo descargo ahora?
- Sí. Verás, está hecho a proposito, va mucho más rápido.
- Es verdad.
- Confía. Ayuda te ayuda. Es mi eslogán. Nadie ha encontrado mejor de momento. ¡Soy el rey del Mambo y la ayda es lo mío!
- Ya lo creo.
- ¿Lo tienes?
- Sí.
- Ponlo en tus documentos.
- Lo hago.
- ¿Está?
- Sí.


-¡Al que no sabe ver, se le ocurre desgracias!
- ¡Corre, corre!

- El diablo anda suelto.
-¡Socorro!

- ¿Ké pasa aquí?
- Nada. ¿Ya lo tienes en tus documentos?
- Sí.
- Muy bien. Ya veo que estás atento. Entonces, ahora, tienes ke llamarle WW.
- WW. Vale. Hecho.
- Ah, mejoras por lo ke veo... Ahora, abrelo y cargarlo de nuevo donde estaba. Haz esto y lo otro, luego esto y al final esto. ¿Ya?
- Lo abro, vale. Lo cargo otra vez... espera... abro esto y lo otro, ahora abro esto... ¡está cargado de nuevo!
Yo - Aïe.
- Oye, aïe, a mí no me gusta la gente que miente. Es una falta tremenda de educación. Cuando uno te pregunta de dónde vienes, lo mínimo es no equivocarse de país y no confundir Belgica, ke está al norte de Europa con España, ke está al Sur.
Yo - ¡Ké despiste! ¿Pero, y tú, cómo lo sabes?
- Pues lo sé por ke tu conexión es española, no belga, ¡caray!
- Bueno, Ayuda ¿y ahora ké hago?
- Pués ¡¡¡ te jodes!!!, lo has hecho todo perfecto y ahora tienes un bicho ke te está destruyendo todo el sistema y ke has puesto tú mismo en tu casa. Ah, ah, ah!!! Ayuda te ayuda!!!! ¡¡¡Nunca mejor dicho!!! Y lo siento, "colega que no hace nada" pero yo, sí, estoy ocupado y ahora me voy a acostar, ke es muy tarde y ke necesito dormir unas horas al menos para seguir adelante. Así ke me despido. Hasta nunca.
- Oh, no!!!! ¡¡¡¡Ké burro!!!

mardi, mars 06, 2007

Proverbe du jour

Tant va la Cruche à l'eau
qu'à la fin, elle se casse.

À méditer... (du coup, je me sers une Coronita, ça fait bien longtemps que je ne bois pas cette bière qui, paraît-il est traître)

Et j'ajoute : j'aime bien la caricature (bien faite!) C'est tout un art. Une caricature réussie est très difficile à reconnaître. On ne sait pas si c'est du veau ou du cochon, on doute, on se remet en question, on jubile si on est d'accord, bref, ce n'est pas à la portée de tout le monde alors que d'autres procédés sont plus simplistes, finalement.

Pour sauter du coq à l'âne (je suis dans le registre "bestiaire", ce soir), je remarque que les gens qui m'impressionnent vraiment, ceux qui me font trembler de peur, perdre mes moyens, bredouiller... ce sont les gens modestes, simples (pas simplistes), indulgents, compréhensifs, attentionnés... ces gens qui ont toujours cet humour bon enfant, parfois teinté d'une pointe d'ironie, mais de cette ironie délicate, souvent percutante. Oui, devant des gens comme ça, je ne sais plus où me mettre. Les autres, bon, les autres ne m'impressionnent pas. J'aime bien ceux qui osent, j'aime bien les ours, les originaux, les distraits mais ça n'a rien à voir.

Pourquoi faut-il que la france ait choisi le Coq, franchement...

J'ai fini ma Coronita, je n'ai donc plus rien à dire.

Musique!

lundi, mars 05, 2007

dimanche, mars 04, 2007

samedi, mars 03, 2007

Bedroom (regalo de KMS)

Berceuse de Lozninger Sunday (I will play)
Photo de Zohiloff

Et en prime, un blog musical canadien saidthegramophone
et des photos, plein de photos...

jeudi, mars 01, 2007

Pong

C'est dégueulasse d'arrêter. C'est petit. C'est tout rabougri.

mercredi, février 28, 2007

Culture(s) clandestine(s)

Ne pas oublier que je sais de quoi je parle
quand je dis que se laver les cheveux
deux ou trois fois par semaine
prend un certain temps.

Reconnaître que la poussière,
notamment dans les grandes villes
salit les cheveux et oblige parfois
à un nettoyage quotidien.

De là à protéger notre chevelure avec un foulard
et celle des petites filles à l'école,
comme le faisait le tablier.

Et on en est là. A déplorer le fait que certaines femmes souhaitent
se dispenser d'une corvée journalière.

lundi, février 26, 2007

Gros Beta, va!

Hourra! Je peux accéder à mon blog!
Ah, on peut dire que la nouvelle version est une réussite TOTALE!
Avant de proférer un jugement, mieux vaudrait savoir ce que signifie ce mot mystérieux Beta.
Toujours pas compris si la nouvelle est avec ou sans Beta.
Remarquez, l'origine du nom, en français, avec une faute d'orthographe, pourrait être amusante, par exemple, ils ont baptisé ainsi la version ancienne après avoir trouvé la nouvelle parce qu'ils se moquent de la conception simpliste antérieure.
Peut-être que la nouvelle version est dotée d'un dispositif aussi ingénieux que facile et que, par conséquent, ils l'ont appelée Bêta, heu, Beta, tellement c'était simple à installer, qu'il suffisait juste d'y penser...

J'ai longuement parlé avec C., se soir, nos discussions sont toujours enrichissantes. Nos questions se répondent. J'aime bien passer un moment avec elle. C'est une fille qui m'intéresse.

Bon, j'allais presque écrire, et l'autre, il est toujours bloqué sur son Louis ou quoi ?
Hum...

samedi, février 24, 2007

Hier, je pensais à internet et je me disais que notre comportement sur la web finissait peut-être par affecter celui de notre vie quotidienne. Quand on allume un ordinateur, qu'on se connecte, on peut aller droit chez quelqu'un, lire, regarder, discuter brièvement; on peut se balader, taper des mots clés approximatifs, des noms qui conduisent à d'autres noms, on ne fait rien, on regarde, tout au plus, on consulte ses courriers, dans le meilleur des cas, on y répond.

Comme dans la vie, on a le choix entre rester spectateur ou mettre son grain de sel.

Je pensais, avant de connaître l'existence des blogs, j'allumais mon portable Windows.1 et j'écrivais. Tranquillement. Des heures durant. Parfois, je commençais un semblant d'histoire, parfois un dialogue. Il m'arrivait de prendre des notes, de recopier des citations. A cette époque, je disposais encore de mon "i" et de mon "u" et je tapais beaucoup plus vite...

Enfin , je n'avais pas besoin de savoir si mon verbiage avait ou non un quelconque intérêt pour qui que ce soit mais la pratique était régulière. Souvent, j'effaçais tout sans avoir besoin de me relire; l'acte d'écrire était une relation intime, confidentielle. Quelquefois, le texte était narré.

J'écoute Renaud, je pense à la pauvreté de la vie si nous nous convertissions en êtres qui, comme sur internet, passaient d'une pièce à l'autre, d'une rue à l'autre, d'une ville à l'autre, d'une personne à l'autre, lisant, regardant, discutant brièvement : mission accomplie sur chaque lieu, avant de déserter.

Écrivant "à la vue de tous", j'ai cessé d'écrire.
Regardant le monde sur écran, j'ai cessé de le regarder dans les yeux.
Quant à y mettre son grain de sel...

jeudi, février 22, 2007

Colonne de droite : C.A.
Ça me fait penser que j'ai une semaine de libre, mi-avril... que j'aimerais bien les voir à l'oeuvre, dans l'arène.

samedi, février 17, 2007

Il pleut

Il pleut. Il a plu toute la journée;
le bruit des pneus sur l'eau
rappelle celui des vagues
déferlant sur la jetée.
Tout doux.
La pluie arrose les plantes ravies
sur le balcon.
Je vais jouer à Tetris.
(colonne de droite, en bas)

mercredi, février 14, 2007

Variante

Un bar anti-Valentin, faut voir...
Là,

mardi, février 13, 2007

Très mauvaise nouvelle

Le restaurant ne s'ouvre pas,
je veux dire, les baies vitrées ne se lèvent pas...

Alors, je ne sais pas...
je ne sais pas,
je ne sais pas.

Et tout doit être fait, imaginé, loué, signé,
avant mai.
J'aurais dû le savoir, le prévoir...

Plus le temps passe,
plus je vois tout en noir.

J'ai besoin de vacances.

lundi, février 12, 2007

Trois monstres en vadrouille

Marrant comme Internet en dit long parfois
sur certaines personnes croisées malencontreusement,
des gens qu'on aurait préféré ne jamais rencontrer
parce qu'ils respirent la fumisterie à pleins poumons.

Alors, les années passent, on les oublie,
et puis, au détour d'une brève,
on apprend qu'ils continuent à berner leur monde,
après avoir - on ne le savait pas, on l'apprend malgré soi -
escroqué quelques 100 000 euros au contribuable.
Ensemble déjà depuis le début...

On se rend compte subitement à qui on a eu affaire,
à des canailles agressives, sans scrupules,
et on prie pour ne plus jamais en entendre parler,
pour ne jamais lire leurs noms nulle part,
pour changer de trottoir si par acharnement
le destin nous forçait à les distinguer
au hasard d'un croisement de rues.

Il existe des gens qui vous rappellent
combien le monde peut-être laid, parfois.
Dieu soit loué, ils sont très peu.

dimanche, février 11, 2007

samedi, février 10, 2007

Cela ne m'empêchera pas de dormir

Merveilleux. Sur Blogger, quand on refuse de passer de la version "ancienne" à la nouvelle, contrôlée par Google, on n'a tout simplement pas le choix :
ou l'on n'a plus accès à son blog,
ou l'on accepte la nouvelle version.
C'est la démocratie à l'américaine, que l'on connaît bien (depuis le temps!) et que la france s'empresse d'appliquer dès qu'elle le peut, pour faire comme son grand frère, et parce que, c'est ça, le progrès, qu'on ne peut pas aller contre...

Ça donne des envies de déménagements, mais après les réformes imposées, opérées sur 20 six (avec code secret d'entrée, pour bien éviter les échanges et rencontres hasardeuses possiblement dissidentes, sur la web) qui procédèrent au grand ménage en détruisant les données de leurs usagers, on a tendance à croire - honni soit qui mal y pense - que toutes les sociétés de bloggueurs sont logées à la même enseigne, que c'est même l'objectif premier de la création de ces sociétés, et que le but n'est pas d'encourager la réflexion ou la "socialisation" à travers l'électronique sinon celui d'encourager les gens à tenir un blog pour que la pratique leur devienne suffisamment indispensable afin d' être prêts un jour à payer pour disposer de ce service. Autrement dit, c'est une arnaque, à peu près aussi évidente que le tabac (qu'il soit du grand Manitou ou des vétérans qui ont fait leur beurre dans la légalité la plus totale et à qui on n'impose toujours pas de révéler ce que contiennent leurs mélanges, ALORS QU'IL EST DÉSORMAIS FORMELLEMENT INTERDIT DE FUMER, pas de produire du CO2).

L'écologie législative me fait rire : j'ai entendu dire que les citoyens sont passables d'amende s'ils ne recyclent pas leur déchets (ou si par distraction, ils se trompent de poubelles) mais cette loi n'est pas appliquée dans les restaurants des grandes entreprises; non, pensez-vous, il faudrait employer des gens chargés de trier les ordures alimentaires et ménagères une fois les plateaux rendus! Un coût totalement injustifié. Si le débat s'ouvre un jour, on préfèrera s'en prendre aux commerçants-restaurateurs avant d'aller voir si on recycle ou non à la cantine de la SNCF.

Bon, tout ça pour dire que ce blog existe tant qu'on essaiera d'appâter le client (version gratuite et sans ad-sens - même la pub est imposée, paraît-il, ce qui donne de drôles d'associations parfois, exemple, un blog critique de livres où apparaît la dernière collection bas de gamme d'une maison de presse aux goûts douteux, et j'en passe et des meilleures) que donc, un blog n'est pas une finalité, qu'il est voué à être détruit, corrompu par les pubs (tiens, les cinéastes en herbe doivent se réjouir de la métamorphose de YouTube!) et tout simplement retiré de la sphère d'internet si son contenu est jugé dérangeant.

Je le sais depuis le début, depuis le premier jour où, il y a deux ans environ, on m'a un peu forcé la main pour me joindre à la farandole burlesque, cela ne m'empêche pas de dormir. Ce jour-là, je jetterai mon ordinateur comme je l'ai fait avec ma TV, il y a 15 ans, et avec mon téléphone portable, il y a 5 ans, et si le monde est géographiquement encore tel qu'il est aujourd'hui, je rejoindrai sans doute un pays en voie de développement pour m'éloigner définitivement de cette société prétendument avancée qui nous entraîne vers une dictature jamais égalée (celle de l'argent, comme unique idole).

Donc, bienvenue à toi sur mon blog, cher Google aux dents qui raient la terre. Et si je suis classée comme indésirable dans ton troupeau de brebis terrorisées à l'idée de perdre leurs précieuses productions, verbales, musicales et imagées, paniquées à l'idée d' "être coupées du monde" et de leurs réseaux amicaux tissés avec patience sur la toile... libre à toi et advienne que pourra, cela ne m'empêchera pas de dormir.

Ah, tant que j'y suis, n'ayant pas la télé, donc, je me suis amusée à regarder ça.
Je voulais dire ça,

vendredi, février 09, 2007

Soupçon

Pensez-vous que certains cinéastes "à succès"
fassent des navets de temps à autre
pour payer moins d'impôts?

Et si oui, ont-ils le droit de détruire
leurs navets quelques années après?

mercredi, février 07, 2007

Precioso (rf : "20 avril", F.Vargas)

1984 ou la réduction irréversible de la pensée

La langue serait-elle à ce point limitée qu'il faille reprendre des titres déjà connus ?
Quand on vous dit La Chute, à qui pensez-vous? À Camus? Eh bien désormais il faudra l'associer à Olivier Hirschbiegel, lequel n'a rien trouvé de plus original comme titre de film (à moins que ce ne soit le traducteur...) pour nous conter une page d'histoire.
Je trouvais déjà scandaleux qu'on ait pu subtiliser et s'approprier le nom du film de Cronenberg Crash, ou que Lars Von Trier n'ait pas songé à la possible confusion entre son Europa et le Europa Europa de
Agnieszka Holland (mais n'ayant vu ni l'un ni l'autre...).
On nous servira bientôt un Fragment du discours amoureux pour relater les correspondances de Sand et de Musset. Peut-être qu'un jour, tout ce qui sera projeté au cinéma ne portera plus qu'un seul nom : film (dans le cas le plus optimiste).