jeudi, août 31, 2006

La rentrée

Je suis arrivée ce matin, à 5h
et j'ai traversé la ville à pied,
tranquillement,
il y avait des gens qui se baladaient,
d'autres qui sortaient de boîte,
des couples, des arabes, des Latinos...
Tout ce petit monde déambulait.
J'ai retiré mon pull, j'ai souri.

Perlitas

Le cinéma français est un cinéma (je modifie un poil) pantouflard.

Compter les rides comme on compte les moutons.

(Un critique remarquable en ce moment)




La France, c'est Disney Land (mon frère). Hum... en ce moment.

jeudi, août 24, 2006

Expressions

Distraitement, je découvre ça

http://images.google.es/imgres?imgurl=http://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/francais/images/apprendrelequebec/page_promo_01_img_01.jpg&imgrefurl=http://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/francais/apprendrelequebec/index.html&h=250&w=393&sz=40&hl=es&start=179&tbnid=kXNEEjQcxV0nIM:&tbnh=79&tbnw=124&prev=/images%3Fq%3Dqu%25C3%25A9bec%26start%3D160%26ndsp%3D20%26svnum%3D10%26hl%3Des%26lr%3D%26sa%3DN

English

Ai commencé Evening snow will bring such peace
de David Adams Richards, en v.o.

He could remember of that day the smell of the fine linen in her hand as she folded it against her stomach as she spoke, and this, along with her quiet, mesured voice, left with him the idea of sincerity, which very few other people had ever done.

mercredi, août 23, 2006

À l'espagnole

http://www.webzinemaker.com/admi/m6/page.php3?num_web=32265&rubr=4&id=221829
Enfin levée à une heure décente.
Le décalage horaire a eu des effets de longue durée...
(Une 'tite semaine, presque!)

Ici, ça sent la rentrée mais la ville
ne désemplit pas. Touristes partout...
Trains et autocars bondés...

Cependant, les feuilles des platanes
affichent déjà de vilaines taches.
La canicule est bien passée, on dirait.

samedi, août 19, 2006

Erable et Dulse

Le goût des vacances,
qui se prolonge... indéfiniment.

vendredi, août 18, 2006

Alegria

Parce que tout était magnifique...

mercredi, août 02, 2006

Le monde est triste, accablant. Les hommes se sabotent, errent et crèvent.

Mais le monde est beau parce qu'il survit, parce qu'il dure.

Oui, le monde est beau même là où rien ne pousse, pourvu que quelques-uns continuent de l'habiter et d'y semer, avec l'audace des désenchantés.

Pourvu qu'un homme et sa caméra* soient là, qui le combattent et l'aiment, au-delà du raisonnable.

Leos Carax


*ou tout ce qu'on voudra, en fait...


Et une ici, aussi...