mardi, janvier 29, 2008


J'ai lu dans le journal aujourd'hui qu'ils se préparaient à lancer un serveur où l'on pourrait écouter et télécharger gratuitement certains morceaux de musique (grâce à des pubs), en télécharger en payant et en écouter sans pouvoir les télécharger, le tout pour un abonnement mensuel de 5 euros.
L'article était si court et je l'ai lu si rapidement que je ne suis pas sure d'avoir bien compris (s'ils parlaient de payer pour le tout ou juste pour pouvoir écouter sans télécharger et sans pub).

Tiens, on peut télécharger tout ça, maintenant, sur Blogspot? Ça fait longtemps?
AVI, MPEG, QuickTime, Real y Windows Media.

samedi, janvier 26, 2008

Déclinaisons hasardeuses





Narcisse musical, ou cinématographique.
Ou encore, pictural, par Vivianne Cangeloni (auteur du tableau ci-contre).








Pour mémoire, Paul Deschanel.
Et encore pour mémoire, pas mal de petites vidéos pédagogiques.

Pas trop compris l'histoire de ces "liens vers le message blog"... Certains s'ouvrent, d'autres pas.

vendredi, janvier 25, 2008

Links volatilisés

Fausse manoeuvre sans doute... Nouveau look à peine choisi...
Impossible d'ajouter qui que ce soit, même pas 1513 (ah si!) qui semble avoir déserté son blog et ne donne pas de nouvelles.
Sinon, une autre lecture sur Le Proscenium, grâce à Pascal Martin.

Et un court métrage de Carlos Atanes, tourné il y a 10 ans, soit à l'âge de 24, 25 ans.

Et Zeitgeist qui fait froid dans le dos... et dont on ne sait que trop penser, trouvé chez Faerie.

mercredi, janvier 23, 2008

Médiathèques en ligne

Finalement, ce qu'on demande à l'Etat, (y compris les jeunes incendiaires, du moins certains d'entre eux), c'est de mettre en ligne ses bibilothèques et ses médiathèques. Moyennant une cotisation minimum - la même que celle qu'on paie aujourd'hui quand on se déplace, on s'inscrit et on télécharge films, bd, musiques et livres.
Est-ce que les vidéos club et les grandes boutiques de disques ont jamais souffert de l'ouverture d'une bibliothèque ou d'une médiathèque dans leur ville ou dans leur quartier? Est-ce qu'on les a entendus se plaindre des droits d'auteurs qui n'étaient pas versés? Non, parce que ce ne sont pas les mêmes produits.

Les droits d'auteur, parlons-en. Il y a deux ans, j'ai adapté un roman classique en pièce de théâtre parce que je voulais le monter. Je la mets sur le site Leproscenium.com, que par ailleurs je recommande à tout le monde tant cela rejoint cette idée de bibliothèque virtuelle et libre d'accès (sans inscription) quoi que maintenant, il faille payer pour y accrocher un texte à partir du troisième, on aura tout vu! sans doute au nom de la protection des données (mais ne suffisait-il pas de l'enregistrer sur le site pour pouvoir faire une réclamation en cas d'usage illégal (1)?) et qui a la particularité de regrouper des dramaturges de tout poil et contemporains.

A propos, est-ce que quelqu'un connait l'équivalent pour les scenari (téléchargement et accès libre à la lecture?)

Bref, je télécharge la pièce chez eux pour la mettre en libre circulation. Quelques mois plus tard, une Canadienne m'envoie un mail pour me demander l'autorisation de la monter. Je suis plutôt très flattée et je lui donne immédiatement mon accord. Cependant, entre temps, allez savoir comment (lorsqu'elle a voulu télécharger le texte, sans doute, ou bien par excès d'honnêteté), la SACD s'en mêle. Elle m'envoie un courrier pour me demander des comptes sur cette adaptation, allant même jusqu'à me menacer de devoir payer des droits d'auteurs (fort heureusement, mon homme est un classique appartenant désormais au domaine public), puis elle me demande mon numéro de compte pour percevoir les droits d'auteurs que ladite Canadienne est obligée de me verser - je n'ai même pas mon mot à dire là-dessus. Bilan des courses, le temps passe; les courriers mettant environ entre trois mois et six mois à être expédiés par notre Grande Protectrice, je suppose que ma Canadienne s'est depuis longtemps découragée car je n'ai pas reçu cette somme ridicule que la SACD s'entêtait à lui réclamer. À moins que tout ait suivi son cours et qu'il faille juste attendre quelques années de plus... Et bien entendu, j'ai perdu les coordonnées de mon interlocutrice pour lui envoyer le texte moi-même. Je retiens cependant la leçon.

J'ai d'autres griefs à l'encontre de cette institution. Il y a très longtemps, je lui ai soumis un autre texte qui devait passer en commission de lecture, à ma demande. Après des années sans réponse, je profite d'un passage à Paris pour m'enquérir de ce que la soi-disant commission en a pensé. On me sort un dossier avec un compte-rendu très flatteur, je leur réclame une photocopie, on me dit que la responsable est absente, qu'il faut l'en avertir. Je téléphone la semaine suivante et on me refuse l'envoi de la critique sans me donner la moindre explication. Dois-je en déduire que la commission fut bidon? Quelles peuvent être les raisons qui empêchent la SACD de fournir à un auteur le compte-rendu d'une commission de lecture?

Alors, oui, on doit défendre les artistes mais de là à bloquer toute circulation de leur production au nom de leurs droits (et des taxes qu'empoche au passage la SACD, sinon quel intérêt?), c'est
un peu pousser le bouchon!
D'autre part, on me dira, oui, mais pour mettre les bd et les livres sur une médiathèque virtuelle et publique, il faut revenir aux travaux des moines et tout recopier ou scanner. Et alors? N'y a-t-il pas une formidable création d'emplois dans ce domaine, et particulièrement pour les jeunes (ceux qui sortent des facs littéraires, artistiques et autres) et pour les plus de 50 ans dont bizarrement on a beaucoup parlé à une époque mais qui sont complètement tombés dans l'oubli depuis des années. Et les métiers de l'édition, les informaticiens, les bibliothécaires... enfin, je ne vois pas ce qu'on attend. Ah oui, il faut de l'argent. Mais n'en a-t-on pas pour les médiathèques? Si c'est le cas, à quoi bon renflouer si généreusement les stocks de celles qui ont été incendiées?

(1) Ça me rappelle une anecdote de E. Rohmer qui racontait que pour échapper aux frais d'enregistrements de leur scénario, les auteurs de la Nouvelle Vague se l'envoyaient à eux-même par la poste, le cachet faisant foi en cas de piratage ultérieur.
Aujourd'hui, je suppose que la partie adverse prétendrait que le texte y a été glissé après coup. Mais La Poste a inventé depuis longtemps des accusés de réception autocollants pour y coller le document directement car les destinataires (les banques en particulier) affirmaient n'avoir rien reçu dans l'enveloppe qui leur était adressée. Il leur reste à inventer si ce n'est pas déjà fait des enveloppes scellées qui ne peuvent s'ouvrir qu'une fois. Encore une création d'emplois, tiens!

Sinon, il y a une exposition que j'irais bien voir, à Tourcoing, organisée par Christophe Atabekian dans la ville où il donne des cours avec, entre autres, des oeuvres de Hélène Delprat dont j'admire le travail depuis pas mal d'années... et de Charles de Zohiloff,
(on n'y voit pas grand chose mais c'est jusqu'au 7 février, de 12h30 à 16h30.)

mardi, janvier 22, 2008

Proust

Oui, je devrais avoir honte mais je n'en ressens pas l'utilité en ce qui concerne ce chapitre, d'ailleurs prémédité : je ne fréquente Proust que pour la première fois et à l'âge de presque 40 ans. Mais quelle joie de le découvrir. Je m'attendais à tout sauf à un esprit si railleur, féru de psychologie, aussi mordant que Jane Austen ou Dostoievski sous des remarques à la fois d'une simplicité enfantine et d'une profondeur qui réjouit l'esprit à mesure que l'oeil dévore l'ouvrage.
Et le sourire ne me quitte plus depuis je suis plongée dans la lecture de ce classique "Sodome et Gomorrhe".

Cette fête princière où le narrateur cherche désespérément à se faire présenter à son hôte...
"Beaucoup de femmes par qui il semblait que j'eusse pu me faire présenter étaient dans le jardin où, tout en feignant une admiration exaltée, elles ne savaient pas trop que faire. Les fêtes de ce genre sont en général anticipées. Elles n'ont guère de réalité que le lendemain, où elles occupent l'attention des personnes qui n'ont pas été invitées."

"C'est que la médecine a fait quelques petits progrès dans ses connaissances depuis Molière, mais aucun dans son vocabulaire. Mon interlocuteur ajouta : "Ce qu'il faut, c'est éviter les sudations que cause, surtout dans les salons surchauffés, un temps pareil. Vous pouvez y remédier, quand vous rentrez et avez envie de boire, par la chaleur" (ce qui signifie évidemment des boissons chaudes).
À cause de la façon dont était morte ma grand-mère, le sujet m'intéressait et j'avais lu récemment dans un livre d'un grand savant que la transpiration était nuisible aux reins en faisant passer par la peau ce dont l'issue est ailleurs. Je déplorais ces temps de canicule par lesquels ma grand-mère était morte et n'étais pas loin de les incriminer. Je n'en parlais pas au docteur E..., mais de lui-même il me dit : "L'avantage de ces temps très chauds, où la transpiration est très abondante, c'est que le rein en est soulagé d'autant." La médecine n'est pas une science exacte."


Anne Sylvestre, .

PS : "inco'", "& Co"... hum, ce n'est pas ce que je voulais dire... mais ça a du sens, involontairement.
Re PS : Et à propos, si cela peut être utile à d'autres, l'existence de la MDPH, .

lundi, janvier 21, 2008

...

Laurence Olivier (1948)


Version chantée de Arnau Vilardebo (2008)

jeudi, janvier 17, 2008

Divagations

Lu d'une traite "Un homme" de Philip Roth.
Ce qu'il y a de bien avec une pneumonie, c'est qu'on peut s'imaginer que ça peut se terminer. Et quand on s'imagine cela, on peut retrouver un peu de sérénité, surtout si on est dans un cadre familier, qu'on sait qu'on ne manquera à personne - ou si peu - et qu'on peut laisser aller ce sentiment de fatigue intense qui englobe tout ou presque : boulot, amour, argent, ambition, rancune, compassion, relations diverses et variées, et tout ce qui fait que notre vie n'a aucun sens et qu'elle en a d'ailleurs de moins en moins au fur et à mesure que les années passent... parce qu'on sait d'avance que le jeu n'en vaut pas la chandelle.
Ce qu'il y a de bien aussi, c'est de s'imaginer que tout peut s'arrêter alors qu'on se trouve sur une terre hospitalière, bénéfique en tout point, un bout de terrain paisible peuplé de gens fidèles sinon à soi, à une certaine éthique de vie. Que tout cela ne durera peut-être pas mais qu'à un moment donné, celui qui nous occupe, cela est.
Après avoir craché mes démons - j'aurais préféré ne pas le faire - je replonge mes orteils comme des racines dans ce sol, j'écoute le rire des passants quotidiens sous mes fenêtres et je réalise que non, décidemment, je ne peux pas quitter cette patrie sauf en disparaissant définitivement, que c'est à cette paix intérieure que j'aspire pour mes derniers jours et que c'est la seule chose qui ne fasse aucun doute dans mon esprit.
Puisse le Ciel m'entendre quand je dis que cela suffit, que j'ai eu mon compte d'émotions et d'échanges et que tout serait bien qui finirait bien si le corps pensait finalement la même chose.

De plus, après un rapide examen de ma petite bibliothèque, je m'aperçois que j'ai tout lu. C'est un peu comme si j'avais vidé mon garde-manger. Il ne me reste que François Nourissier (pas pu finir le "Roman volé" mais j'ai encore "Le bar de l'escadrille") Julien Cracq "En lisant en écrivant", Alphonse Allais "Le captain Cap", Ronsard "Discours des misères de ce temps" (que j'étais en train de finir avant les vacances de Noël), José Saramago "Cuadernos de Lanzarote" (qui m'ennuie un peu parce que c'est un journal) Thomas Nashe "Le voyageur malchanceux", Carson McCullers dont la première nouvelle "Le coeur est un chasseur solitaire" ne m'a laissé aucun souvenir (alors cela ne me donne pas envie de m'attaquer à la suivante "Reflets dans un oeil d'or"), Sénèque, Clarissa Pinkola Estés "Femmes qui courent avec les loups" et un gros volume d'Anna Gavalda qu'on m'a prêté, qui doit se lire vite et sans trop réfléchir si j'en juge par "Je voudrais qu'on m'attende quelque part", lu il y a quelques années et qui ne transcende rien, mais au moins, comme ça, je pourrai le rendre à sa propriétaire.
Ah non, il y a aussi un Proust "Sodome et Gomorrhe" et, rien à voir, un Jean-Michel Ribes "l'Odysée pour une tasse de thé" (mais c'est du théâtre et je n'en ai pas envie en ce moment, pas de ce genre en tout cas), et puis un Serge Valletti "Six solos" (trop récent, lui aussi, trop content de lui pour avoir envie de le lire). Donc je n'ai que deux ou trois bouquins, c'est tout ce qui me reste... et je me demande ce qu'il y a encore, là-bas, dans ce grenier; qu'est-ce que j'aurais pu y laisser d'intéressant... rien, je crois.
Je vais continuer ce Captain Cap qui a l'air d'être une farce et quand je serai rétablie, il faudra que je veille à renflouer les caisses (de vin) qui me servent d'étagères.

Quant aux pièces, il faut que je profite de cet arrêt forcé pour les taper, les enregistrer sur un cd pour les imprimer ensuite toutes ensemble, les faire relier et jeter toute cette paperasserie qui m'encombre.
Comme je passe la moitié du temps à dormir, j'espère que je vais trouver l'énergie pour m'y mettre.

A propos du festival de films de Rotterdam (où nous étions en 95), il y a le dernier long métrage "My Marlon and Brando" de Hüseyin Karabey (Istanbul) avec Ayca Damgaci, cette actrice pleine de vitalité, sur fond d'ignominie, pour ne pas dire boucherie, bien réelle...

Fini, le "Captain Cap". Terminer le Ronsard avant de passer à Proust. Ou à Gavalda...

dimanche, janvier 13, 2008

La nature animale

Dans les écoles, avant que des lois ne passent pour empêcher systématiquement toute présence d'animaux dans les classes (à l'exception peut-être des poissons?), certains instituteurs avaient l'habitude de garder un oiseau ou des souris en cage.
L'oiseau, il chantait de temps à autre, attirant l'attention des élèves mais cela se limitait là. Les souris en revanche, étant rarement seules, procréaient parfois malencontreusement. La plupart du temps, et devant le regard horrifié des enfants, cette reproduction "intramuros" ou plutôt "intrabarreaux" conduisait la femelle à dévorer ses petits pour leur épargner l'existence qui les attendait irrémédiablement...


Sinon, Faerie nous donne quelques leçons de maquillage pour accourir aux coktails et dîners professionnels

samedi, janvier 12, 2008

Virus - rectifié comme fausse alerte

Je fais suivre car la confirmation de cette info a été diffusée sur EUROPE 1 hier. Message à faire passer !!!
Dans les prochains jours, vous devrez faire très attention de n'ouvrir aucun message appelé l'invitation', peu importe qui vous l'envoie !!!
C'est un virus qui « ouvre » une torche olympique et qui brûle Le disque dur du PC. Ce virus sera envoyé par une personne que vous avez dans votre liste de contacts, c'est pour cela que vous devez absolument envoyer cet e- mail.
Il vaut mieux recevoir ce message 25 fois plutôt que de recevoir Le virus et l'ouvrir !!!
Donc, si vous recevez un message appelé 'invitation' NE L'OUVREZ SURTOUT PAS ET ETEIGNEZ IMMEDIATEMENT VOTRE PC.
C'est Le pire virus annoncé par la CNN et classifié par Microsoft comme Le virus Le plus destructeur qui n'ait jamais existé jusqu'à présent !
Ce virus a été découvert hier après midi par MCAfee et IL n'y a pas encore de solution pour palier à ce virus Il détruit tout simplement la 'zone zéro' du disque dur où sont cachées les informations vitales !
ENVOYEZ CET E-MAIL A TOUS CEUX QUE VOUS CONNAISSEZ !!!
A vos amis,vos contacts...Car plus vous préviendrez de personnes, plus Le virus aura de difficultés à se propager. Faites un copier coller pour transférer ce message.

A priori, l'info viendrait de source sûre...

lundi, janvier 07, 2008

A plat

Commencer l'année presque aussi éreintée qu'en la terminant...
Pas de bonnes résolutions pour 2008.
Si, essayer de savoir ce que je veux faire de ma vie,
ne serait-ce qu'au cours des cinq prochaines années.
Et autant l'avouer, rien n'est clair...
D'ailleurs, c'est ce flou artistique qui m'épuise le plus.
Ne pas pouvoir se poser, et réfléchir, à tête froide.
Etre obligée de poursuivre un train de vie qui, semble-t-il,
ne me satisfait plus mais sans entrevoir d'alternative.
En gros, j'aimerais bien le secours d'un voyant (ou d'un psy).
Je continue, oui. J'essaie même de projeter jusqu'à la retraite...
Mais quelque chose cloche, et je ne sais pas exactement quoi.

Il y a cette force qui me tire et à laquelle je résiste,
sans doute parce que je n'y crois pas.
C'est peut-être cela, le fond du problème : y croire...
Pas le souvenir d'avoir été souvent blasée,
pas vraiment dans mon caractère à date.

Je compte sur le théâtre, comme toujours, pour débloquer des choses enfouies,
pour mieux comprendre les doutes qui m'aspirent, me privent d'énergie.
Le théâtre a l'art de révéler des états d'âme qu'on ignore, volontairement ou non.
On fonce dans une direction inconnue car c'est l'être profond qui parle,
libéré de toute contrainte sociale, affective ou culturelle.

Il y a cette bouée de secours. Tout n'est pas encore perdu.

Rien d'autre en perspective, pour le moment.
Si, "Sunrise, sunset" et attendre que ça passe...

Bonne Année quand même.

Du coup, je vais sur Saint Google, comme l'appelle ce violoncelliste chansonnier excellent que nous avons vu samedi dernier Pau de Nut, et je tape voyance pour lire l'horoscope gratuit proposé et... bon... s'ils le disent, c'est que peut-être...

Professionnellement, un changement d’activité professionnelle pourra avoir lieu au milieu de l’année 2008. Vous vous libèrerez peut être d’un travail qui ne vous plaisait que très moyennement pour vous orienter vers une activité plus artistique. Ce changement vous apportera un certain épanouissement.
Coté forme, le moral ne sera pas particulièrement au beau fixe au tout début de l’année mais vous donnerez un bon coup de pied et tout repartira de nouveau.

Nous sommes allés voir un film assez incroyable : "Death of a president" de Gabriel Grange, sorti depuis assez longtemps mais tout juste projeté ici.

Enfin, les années passent et ne se ressemblent pas, c'est tout ce que je vois à l'heure actuelle...