mardi, janvier 30, 2007

Hécatombe 2006...

Pierre Chérruau (père) est décédé.
Et je ne l'apprends qu'aujourd'hui...

samedi, janvier 27, 2007

Changement climatique

ACCION CONTRA EL CAMBIO CLIMATICO:
EL 1 DE FEBRERO PARTICIPAD EN LA MAS GRANDE MOVILIZACIÓN DE CIUDADANOS
CONTRA EL CAMBIO CLIMATICO entre 19h55 et 20h00.

LA ALIANZA POR EL PLANETA HACE UN LLAMAMIENTO A TODOS LOS CIUDADANOS, 5
MINUTOS DE TREGUA PARA EL PLANETA: TODO EL MUNDO DEBE APAGAR LA LUZ EL
1 DE FEBRERO ENTRE LAS 19,55 Y LAS 20,00h.

NO SE TRATA DE AHORRAR 5 MINUTOS DE ELECTRICIDAD SOLO ESE DIA, SINO DE
LLAMAR LA ATENCION DE LOS CIUDADANOS Y DE LOS MEDIOS POR EL DESPILFARRO
DE ENERGIA Y DE LA URGENCIA DE NO HACER NADA....
5 MINUTOS DE TREGUA PARA EL PLANETA: MOSTRARA A LOS POLITICOS QUE EL
CAMBIO CLIMATICO DEBE PASAR POR ENCIMA DE LOS DEBATES POLITICOS.
¿POR QUE EL 1 DE FEBRERO?

ESTE DIA SALDRÁ EN PARIS EL NUEVO INFORME DEL GRUPO DE EXPERTOS
CLIMATICOS DE NACIONES UNIDAS.
ESTE EVENTO TENDRA LUGAR, EN FRANCIA, Y NO HAY QUE DEJAR PASAR ESTA
OCASION DE DEMOSTRAR LA URGENCIA DE LA SITUACION CLIMATICA MUNDIAL.
SI PARTICIPAMOS ESTA ACCION TENDRA UN VERDADERO PESO MEDIATICO POLITICO,
MESES ANTES DE LAS ELECCIONES FRANCESAS Y BELGA


HACER CIRCULAR AL MAXIMO ESTE LLAMAMIENTO ENTRE VUESTRAS
AMISTADES......

Contact/ information : Cyrielle, Les Amis de la Terre:00 33 1 48 5118

Geneviève Houart
Assistante en communication
Ligue des Famille

ACTION CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE : LE 1 FÉVRIER, PRENEZ PART À LA PLUS GRANDE MOBILISATION DE CITOYENS CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE ENTRE 19H55 ET 20H00.

L'ALLIANCE POUR la PLANÈTE FAIT un APPEL à TOUS LES CITOYENS, 5 MINUTES de TRÊVE POUR la PLANÈTE : TOUT LE MONDE DOIT ÉTEINDRE la LUMIÈRE le 1 février ENTRE 19h55 Et 20,00h. Il NE S'AGIT PAS D'ÉCONOMISER 5 MINUTES d'ÉLECTRICITÉ SEULEMENT CE JOUR, MAIS D'ATTIRER l'ATTENTION des CITOYENS et des MEDIAS SUR le GASPILLAGE d'ÉNERGIE et de l'URGENCE DE NE RIEN FAIRE.... 5 MINUTES DE TRÊVE POUR LA PLANÈTE : cela MONTRERAIT aux POLITICIENS QUE le CHANGEMENT CLIMATIQUE DOIT PASSER AVANT les DÉBATS POLITIQUES. POURQUOI LE 1 FÉVRIER ? CE JOUR-LÀ SERA DIVULGUÉ À PARIS LE NOUVEAU RAPPORT DU GROUPE D'EXPERTS CLIMATIQUES DE NATIONS UNIES. CET ÉVÉNEMENT AURA LIEU en FRANCE, Et IL NE FAUT PAS LAISSER PASSER CETTE OCCASION DE DÉMONTRER l'URGENCE de la SITUATION CLIMATIQUE MONDIALE. SI nous Y PRENONS PART, CETTE ACTION AURA un VÉRITABLE POIDS MÉDIATIQUE POLITIQUE, UN MOIS AVANT les ÉLECTIONS FRANÇAISES et BELGES.

FAIRE CIRCULER AU MAXIMUM CET APPEL ENTRE VOS AMITIÉS......

Contact/information : Cyrielle, Les Amis de la Terre:00 33.1.48.5118

Récapitulatif

En moyenne, Ce qui compte,
Je fais En Global Orgasm
L'homme
El hombre
Je crois
Vu

Il y avait
Because,
Ta voisine
Tout
Because
Tout
Les femmes
Je pense

Joyeux
Nuit des Rois - Noche de Reyes
Homard à bout de ficelle de cheval
Une chose
Tout

Maintenant,
Des mots,
C'est quoi
Un documentaire
Repérages (en pourparlers)

"...SOLDADO 1º.- ¿No tienes valor?

C'est

Suis

Tiens,
En lisant,
Toujours

Trouvé ça,
Elle était
Je haïssais

Certitude

Je haïssais la France - pays d'attardés, pensais-je avant de m'exiler - et internet, les blogs m'ont définitivement réconciliée avec mon pays (dans lequel je ne reviendrais vivre pour rien au monde, sous aucun prétexte). Non, l'âme française n'est pas une chimère, mes concitoyens sont juste paralysés de peur. Que faire...?

jeudi, janvier 25, 2007

Ternura

Elle était tout de même particulièrement bien choisie, cette idée du squatteur qui répare les menus objets défaillants dans les appartements où il passe...
Je ne sais pas pourquoi je pense à ça, je ne sais même plus le titre du film de Kim Ki-Duck (qui paraît-il, selon certains cinéphiles, est un..."ª&%!!"), ah si! : Hierro 3
(en espagnol). Je suis sur mes gardes, la dernière fois que je pensais à la tendresse, j'ai bousillé deux voyelles. Je pensais : si elle est animale, ça donne ça, de Leos Carax, peut-être...
Si elle est humaine, c'est un cd de photos et quelques mots doux reçus aujourd'hui.

mercredi, janvier 24, 2007

Quand internet sert (vraiment) à quelque chose...

Trouvé ça, chez Assouline (où, d'ordinaire, il est en effet recommandé d'ignorer les commentaires, sauf si l'auteur du blog se préoccupe d'opérer lui-même la sélection pour nous la resservir sous forme de post.)

“Merci M. Passouline, merci trois fois…merci mille fois ! C’est la première fois que je constate qu’un écrivain ose, de manière oblique et ironique il est vrai, s’attaquer à la profusion des livres et des imprimés dans notre civilisation. Lire 600 livres en deux mois, c’est mathématiquement impossible. Ce dont vous n’avez pas (encore ?) parlé, c’est de notre boulot: le pilon. Nous allons combler illico cette lacune pour l’édification de tous les éditeurs, écrivains et lecteurs de la République.

A la “rentrée littéraire”, le tsunami de papier nous submerge . La loi sur les 35 heures nous a beaucoup nui. Ni Ségo ni Sarko n’ont soufflé mot de notre existence. Pas la moindre allusion à notre sort peu enviable. Nous surnageons comme nous pouvons dans la marée blanche du papier. Même le papier hygiénique prend un autre canal que le nôtre et s’auto-détruit sans intervention humaine. A ce rythme, Sisyphe soi-même finirait par faire voler sa pierre en éclats si on lui imposait les contraintes que nous subissons. A peine avons-nous fini le dernier Houellebec qu’arrivent déjà sans crier gare les Goncourt, les Femina et surtout - notre bête noire- les dictionnaires, encyclopédies reliées en 18 volumes et les annuaires téléphoniques. Sans oublier les rapports gouvernementaux qu’on n’est pas censé lire, discrétion oblige. Et les erotica que les “bleus” de l’atelier anéantissent à l’aveugle, un “bandeau de pudeur” sur les yeux. (C’est le règlement de 1890, jamais abrogé, qui nous en fait encore l’obligation). Pendant que nous suons sang et eau, MM. les écrivains, eux, sont à l’honneur partout: Prix Machin, Emission Truc, critiques en-veux-tu-en-voilà dans les hebdos, les quotidiens, entretiens radio, bavardages, querelles, marketing, publicité. Ca palabre, ça roucoule, ça jacasse, ça pérore, ça plastronne urbi et orbi. De nous, il n’est JAMAIS question. Plus vous en faites, plus vous pondez, plus on a de boulot…Dur à suivre votre rythme par les temps qui courent… Grace !

De nous, nul ne se soucie et pourtant, comme les micro-organismes qui digèrent les déchets de nos fumiers de campagne sur lesquels les coqs chantent joyeusement, notre rôle est essentiel: débarrasser la planète de votre redoutable pollution: les “invendus”. Savez vous comment nous oeuvrons pour faire ce que Natura abhorret ? Comment nous produisons le “vacuum” vital sans lequel les auteurs ne sauraient produire de nouveaux livres pour alimenter notre pilon ? Dans nos ateliers souterrains de Barbès, mal éclairés et non ventilés, nous sommes condamnés à inhaler les vapeurs de l’encre encore humide et du brouillard de microparticules de papier, en fait, les déchets de vos oeuvres.

Le livre est en effet une marchandise aussi périssable que la langouste de Famagusta, le foie gras de canard au naturel ou le tamagoshi usé. Il s’agit de s’en débarrasser le plus rapidement et le plus hygiéniquement possible. Autrefois, on transformait la maculature en carton d’emballage. Mais les écolos ont interdit cette pratique nocive à Gaïa. C’est interdit de fumer partout. Y a des catalyseurs et des filtres à particules sur les bagnoles diesel mais pour nous: Rien ! Tout est encore fait à la main. Du pilon garanti “Made in France”. Et c’est nous, modestes et obscurs équarisseurs-éboueurs des Belles Lettres qui nous tapons le sale boulot: le dépiautage de tous les invendus. Des bouquins encore neufs, pas lus-pas vendus 3 mois seulement après leur sortie de presse. Un scandale intellectuel et écologique de grande envergure qu’aucun politicien n’a intégré dans son programme !

Dépiauter du Gallimard, du Julliard, le dernier roman de machintruc, c’est facile: on déchire le bandeau rouge, puis on écartèle la couverture et on attaque la phase la plus fastidieuse du boulot: l’arrachage page par page de l’ouvrage, de la première à la dernière. Chaque année, ils inventent de nouvelles colles plus adhésives au point où il faut attaquer parfois le bouquin au cutter ! Sans parler de ces engeances de vipère que sont ces p….d’agrafes. Une arrivée de brochés en poche ne nous fait pas peur mais ce sont les reliés qui font problème. Et la législation pléthorique de Matignon: tout en A4 120 grammes/mètre carré: une torture pour nos pauvres mains calleuses. Du solide ces lois …aussitôt promulguées, aussitôt oubliées… Depuis 3 mois, à la suite d’une grève d’avertissement, ils ont fini par nous doter de gants ad hoc pour nous protéger les mains: le papier, comme les saillies de la pensée, est très coupant. Sans parler des champignons microscopiques, de la “peste du papier” , des odeurs d’amoniac, de sufphure de plomb, de relents de zinc émanant des encres indélébiles. L’alpha bouffant passe encore mais les purs velins et le papier Bible de la Pléäide sont les plus résistants. (Et je ne parle pas des couvertures plastifiées: une calamité !!!)

Et dire qu’on produit des Home Cinemas et des Prius écolo à la chaîne, sans intervention humaine. Tout est robotisé dans ces usines japonaise alors que nous, à Barbès, on se les gèle dans notre sous-sol en s’intoxiquant à la poussière de papier et d’encre. (Parfois, j’en peux plus et je lis à la dérobée, sans en avoir l’air, le premier paragraphe de la dernière page que je viens d’arracher. Piètre digression… Et encore, faut pas se faire coincer par le contremaître parce que toute lecture est assimiléee à une faute professionnelle. J’ai failli me faire saquer en laisser traîner mon oeil sur un passage de votre Lutetia. Ca me distrait un peu, ces micro-lectures clandestines mais on est fouillé à la sortie. Pas question donc d’emporter une seule page arrachée aux milliers de livres pilonnés par nos soins chaque jour.) C’est pas une vie ça, vous avouerez ? Quant aux cameras de TV, on n’en a jamais vu débarquer dans notre Pilon Central pour montrer et rendre hommage à une profession totalement négligée, oubliée.

Nous, les soutiers, en avons marre.

Pourriez-vous, Monsieur Assouline, venir constater de vos propres yeux, le caractère fort ingrat de notre métier ? Vous serez bien reçu. Y a des bleus de travail à l’entrée de l’atelier pour protéger votre costard de toute salissure. On vous fera passer pour un nouveau pilonneur et vous pourrez vous essayer à notre art. En attendant votre visite, auriez-vous l’obligeance d’ intercéder auprès de vos confrères pour qu’ils aient une pensée pour nous et produisent MOINS et MIEUX ? Merci d’avance, de tout coeur. Et sachez que nos destinées sont étroitement liées:

Plus vous vendez, moins nous souffrons.

L.F.

PS: Si vous croisez M. Sarko, pourriez-vous lui dire que s’il a un karcher de trop dans sa remise, nous pourrions en faire bon usage à l’atelier ? Merci de votre obligeance et de votre bravitude à nous rejoindre en soute.”

mardi, janvier 23, 2007

Espoir

Toujours aussi efficace...
C'est très bon signe, .

Les petites misères

En lisant, j'hésite à laisser un commentaire (moi, c'est la poutre au-dessus de mon lit qui s'effrite tout doucement, depuis des semaines, et comme les voisins ont la drôle d'habitude de déplacer leurs meubles en pleine nuit, en faisant un ramdam incompréhensible, je me demande si l'origine de la sciure est due à des déplacements d'objets lourds ou à ce parasite du bois qui dévore ce qui me tient lieu de plafond.)

Du coup, je me dis que les gens ne parlent pas assez de leurs petits tracas ménagers, que ça détend aussi d'évoquer les galères inhérentes aux habitats, que c'est instructif, qu'avant, on en entendait plus parler - maintenant, les gens répètent ce qu'ils entendent à la télé ou lisent dans le journal. Comme je n'ai pas la télé, je suis toujours au courant des sujets balancés, et comme je lis, parcours, feuillète le journal, c'est assez rare de découvrir un sujet de société complètement inconnu au bataillon alors qu'un chauffe-eau qui fait griller une installation électrique, je n'en avais jamais entendu parler, je ne savais même pas que ça pouvait exister. (Et j'espère pour lui que ce n'est pas trop grave.)

Je suis fatiguée. Les mensonges me fatiguent. Je ne sais pas comment réagir face au mensonge, surtout si c'est anodin. Je n'en conçois pas bien l'utilité, je préfère les petits tracas jugés secondaires, plus appropriés. Ils ont un mot ici : la falsedad.
Ce photographe argentin semblait peiné en prononçant ces mots : vivimos en un mundo de falsedad, comme si rien ne pouvait rétablir l'équilibre, la falsedad sonnant comme une fatalité. Et moi, bêtement, je lui ai répondu que saint Augustin, je crois, prônait l'usage du mensonge pour dire la vérité.

Dois m'inscrire à un cours d'anglais...

lundi, janvier 22, 2007

Tiens, ça me fait penser que je suis allée voir Marie-Antoinette ce soir... Avec Coppola, que j'aime bien à priori même si là, j'ai un doute, (y'a bien 2 p?), bref avec le père comme la fille, j'éprouve une sorte d'attendrissement parfois, bref, ça me fait penser à ça. Pourtant, je dirais que chez Sofia, on ressent pas de mépris, même si elle en rajoute des tonnes pour laisser le spectateur en juger par lui-même; les faits sont là, indéniables, mais on pourrait tout aussi bien affirmer que le discours sous-jacent n'a rien à voir avec un fait historique, un fait psychologique lié à une curiosité d'historienne, non, on a l'impression qu'elle se raconte, elle-même, avec dureté, mais qu'elle se livre, en pâture presque.
Alors que non, il n'y a pas vraiment de mépris là-bas non plus, mais de l'ironie tout de même.
L'un et l'autre ne me faisant penser à rien d'autre, sinon à Philip K. Dick.

dimanche, janvier 21, 2007

The father thing

Suis en train de finir "Le père truqué" de Philip K. Dick, (où se trouve, entre autres "Minority Report"), un livre à révolutionner les méninges...

jeudi, janvier 18, 2007

Téléphonera...téléphonera pas...

C'est un peu angoissant, ce silence.

mercredi, janvier 17, 2007

Pérez Dann recibió el Premio Arniches 1966 por su obra Mi guerra.

"...SOLDADO 1º.- ¿No tienes valor?

SOLDADO 2º.- No.

SOLDADO 1º.- ¿Nada de valor?

SOLDADO 2º.- Nada de valor.

SOLDADO 1º.- Tendrás valor moral.

SOLDADO 2º.- Tampoco.

SOLDADO 1º.- ¿Y valor físico? Para saltar, correr, luchar, matar...

SOLDADO 2º.- Sí, para eso sí. Tengo valor físico para saltar, pero no valor moral para decidirme a saltar. No he saltado en mi vida.

SOLDADO 1º.- Se puede ser feliz sin saltar.

SOLDADO 2º.- No. A mí me vuelve loco saltar y no puedo.

SOLDADO 1º.- (Comprensivo) No tienes valor moral.

SOLDADO 2º.- No, no tengo.

SOLDADO 1º.- Yo sí. Tengo valor moral para decidirme a saltar, pero no valor físico para hacerlo. No he saltado en mi vida.

SOLDADO 2º.- ¿Eres feliz?

SOLDADO 1º.- No.

SOLDADO 2º.- Con tu valor y con el mío hacemos el hombre más valiente del mundo. Y el hombre más valiente del mundo puede cumplir nuestra obligación.

SOLDADO 1º.- ¿Cómo?

SOLDADO 2º.- Tú tienes valor para decidirte. Puedes sacar las bolas.

SOLDADO 1º.- Sí.

SOLDADO 2º.- Yo tengo valor físico para matar. Tú sacas las bolas y yo mato a uno de los dos.

SOLDADO 1º.- ¿Y así habremos cumplido nuestra obligación?

SOLDADO 2º.- En todas sus partes.

SOLDADO 1º.- Has tenido una buena idea. Voy a sacar las bolas. (Se detiene). ¿Soy yo el que tiene valor moral?

SOLDADO 2º.- Sí, y yo valor físico. Sácalas.

SOLDADO 1º.- No puedo.

SOLDADO 2º.- ¿Por qué?

SOLDADO 1º.- Tengo valor moral para decidirme, pero no valor físico para sacarlas..."

Se atribuyen al lexicón (Chomsky:1970,81-82) del término valor dos rasgos semánticos o artículos léxicos cualitativos -valor moral / valor físico- que globalmente constituirían el valor ideal, irresistible, absoluto. Pero la dicotomía de esa tipificación, adscrita cada una a un solo soldado, desemboca en el absurdo de una neutralización semántica que priva al lenguaje de su poder conativo. El valor desaparece.

Lo único que se ha hecho con el signo lingüístico ha sido desintegrarlo. Hacer incompatibles los dos semas que se estiman fundamentales en el concepto y situarlos en seres distintos. El resultado es esa inoperancia, esa disolución de la palabra clave en torno a la cual gira la escena.

là,

dimanche, janvier 14, 2007

Repérages (en pourparlers)


Côté Jardin







Côté Cour

¿Y tú, qué sabes?

Un documentaire fascinant sur les déductions tirées de la physique quantique,
ou plutôt de la perception du monde à travers elle,
quelque chose à voir avec ce concept occidental "matériel" révolu, je crois,
,

samedi, janvier 13, 2007

Question

C'est quoi la définition de : "être chiante"
(Question sincère puisque je serais incapable de donner la définition pour le sexe opposé,
encore que... si je réfléchis bien... Enfin, là n'est pas le sujet, moi, ça se pose au féminin, exclusivement.)

(Je me disais : en fait, la solution, c'est d'arrêter au moment même où autrui commence à s'intéresser à la conversation, comme ça on le frustre mais on ne le déçoit pas.)

(Pour quelqu'un d'autre : mais n'est-ce pas l'évolution logique du cinéma, comme l'a été la peinture "conceptuelle", où prévalait finalement la notion plutôt que la réalisation? Je vais plus loin, n'est-ce pas le siècle du scepticisme, de l'interrogation résolue vis-à-vis de la production? N'est-ce pas un concept occidental complètement révolu, cette histoire de "réalisation", souvent matérielle hélas...?

mardi, janvier 09, 2007

Éparpillé

Des mots, des bribes de phrases...
Parlé, parlé toute la journée,
annoncer la nouvelle, avec un sourire (ben quoi?)
demander conseils, un endroit,
un endroit sympa à trouver,
je fais ctrl C pour le i et ctrl V pour le récupérer;
je clique pour le u, sur le clavier à l'écran,
pas au point, serait plus logique de faire le contraire,
parce qu'il y a plus de i que de u dans ma langue française
et parce que, appuyer sur le u, c'est plus proche de la forme du v.

Désordre... moteur.

Bon, tout le monde se réjouit, on m'embrasse,
on me félicite - je ne m'attendais pas à ça...
mais c'est bien agréable, du coup, je tape la causette
avec chacun et chacune et, ça aussi, ça fait un bien fou.
Avec le ctrl v pour le u, j'augmente sensiblement la cadence,
le mieux serait de disposer de 2 touches control,
il doit y en avoir autant qu'on veut sur un Mac...

Je pensais, les autres donnent une dimension inconnue aux événements,
les autres ont le pouvoir d'embellir ou d'enlaidir toute chose...
Je pensais aussi aux mots commençant par la sonorité d'une note de musique :
do : dormir, dominer, dommage, dorloter, donner, domino, doter
ré : rémunérer, ressembler, régénérer, rétention, récompense, récrier
mi : misérable, minable, minuscule, miroiter, minauder, mise en scène, millier
fa : farine, famine, fabuleux, façon, facile, familier, fatigue, faveur
sol : soleil, sommelier, soda, solution, somme, sonner, sofa
la : lapin, laver, lasser, lapider, lamelle, lâche, lacer, lamenter
si : sirène, siffler, sien, silhouette, siroter, site

Alors... est-ce qu'il existe un lien...? un lien sémantique...?

Toutes ces conversations privées m'ont vaguement grisée,
j'ai dû rester isolée un certain temps pour ne plus y être habituée.

lundi, janvier 08, 2007

Marqueurs dynamiques

Maintenant,
quand on va chez Ga (le dessinateur, voyons! L'appartelier!),
on doit s'inscrire en utilisant un "marqueur dynamique"
(ou marcadores dinámicos)...

Qu'est-ce que c'est?

dimanche, janvier 07, 2007

Hugo

Tout ce qui souffre est plein de haine.
Tout ce qui vit traîne un remords.
Les morts seuls ont rompu leur chaîne.
Tout est méchant, hormis les morts!
Aussi, voyant partout la vie
Palpiter de rage et d'envie,
Et que parmi nous rien n'est beau,
Si parfois, oiseau solitaire,
Tu redescends sur cette terre,
Tu te poses sur un tombeau.
Sunt lacrymae rerum
Les Voix intérieures II, mai 1837

Chateaubriand

Une chose m'étonne toujours quand je pense à Voltaire: un esprit supérieur, raisonnable, éclairé est resté complètement étranger au christianisme; jamais il n'a vu ce que chacun voit, que l'établissement de l'Évangile, à ne considérer que le rapport humain, est la plus grande révolution qui se soit opérée sur la terre: il est vrai de dire qu'au siècle de Voltaire, cette idée n'était venue dans la tête de personne. Les théologiens défendaient le christianisme comme un fait accompli, comme une vérité fondée sur des lois émanées de l'autorité spirituelle et temporelle; les philosophes l'attaquaient comme un abus venu des prêtres et des rois: on n'allait pas plus loin que cela. Je ne doute pas que si l'on eût pu présenter tout à coup à Voltaire l'autre côté de la question, son intelligence lucide et prompte n'en eût été frappée: on rougit de la manière mesquine et bornée dont il traitait un sujet qui n'embrasse rien moins que la transformation des peuples, l'introduction de la morale, un principe nouveau de société, un autre droit des gens, un autre ordre d'idées, le changement total de l'humanité. Malheureusement le grand écrivain qui se perd en répandant des idées funestes, entraîne beaucoup d'esprits d'une moindre étendue dans sa chute: il ressemble à ces anciens despotes de l'Orient sur le tombeau desquels on immolait des esclaves.
Génie du christianisme

samedi, janvier 06, 2007