samedi, novembre 25, 2006

Second Life

La face cachée de Second Life Des commerçants qui mettent la clé sous la porte, des citoyens qui manifestent devant l'Hôtel de Ville pour réclamer un geste politique, d'autres qui restent enfermés chez eux. Depuis début novembre, un vent de panique souffle dans Second Life, la communauté virtuelle en ligne où les membres peuvent interagir, acheter et vendre des biens, et se construire une fortune personnelle bien réelle. La raison de cette effervescence ? CopyBot, un virus qui permet de copier des objets ou des personnages du jeu et de les dupliquer, érodant par là même la valeur de ces biens. Mais CopyBot, et plus généralement la vulnérabilité de Second Life aux virus et autres vers, n'est pas la seule source de récrimination des membres. D'aucuns s'inquiètent également de la menace croissante des gangs organisés qui expulsent les membres des lieux publics. Aussi drôle que cela puisse paraître, il semble que le monde virtuel soit confronté à un réel problème : le crime. Les membres exigent désormais l'instauration dans Second Life d'un système d'ordre et de loi. La lutte pour la protection de la propriété privée est bel et bien l'apanage de toute société humaine, aussi virtuelle soit elle ! [Lire l'article de Business Week]

La cara ocultada de Second LIFE donde los comerciantes ponen la clave bajo la puerta, los ciudadanos manifiestan delante del Hotel de Ciudad para reclamar un gesto político, otros permanecen encerrados en sí mismos. Desde a principios de noviembre, un viento de pánico sopla en Second LIFE, la comunidad virtual en línea donde los miembros pueden obrar recíprocamente, comprar y vender bienes, y construirse una fortuna personal bien real. ¿La razón de esta efervescencia? CopyBot, un virus que permite copiar objetos o personajes del juego y duplicarlos, erosionando por allí incluso el valor de estos bienes. Pero CopyBot, y más generalmente la vulnerabilidad de Second LIFE a los virus y otros gusanos, no es la única fuente de recriminación de los miembros. Muchos se preocupan por la amenaza creciente de las bandas de malhechores organizados también que expulsan a los miembros de los lugares públicos. Por eso, con lo divertido que eso pueda parecer, parece que el mundo virtual esté enfrentado a un verdadero problema: el crimen. Los miembros exigen en adelante la instauración en Second LIFE de un sistema de orden y ley. ¡La lucha para la protección de la propiedad privada es bonita bien y el atributo de toda sociedad humana, por eso virtual sea! [ Leer el artículo de Negocios Week ]

7 commentaires:

Anonyme a dit…

900$ with Second Life?

Anonyme a dit…

Il semble qu'un vers des bas-fonds de SL soit rendu jusqu'à ton blog. On n'a qu'à parler du diable pour qu'il vienne...

incognit-ho a dit…

L'article est-il politiquement incorrect?

Anonyme a dit…

Ça dépend de son point de vue politique, je suppose.

incognit-ho a dit…

Le vers est-il dans le fruit offert en html?

Anonyme a dit…

Une étudiante en journalisme est venu mes poser quelques questions sur Second Life l'autre jour. Il paraît que l'entretien a ensuite passé à la télévision. Mais entendons-nous, sur un de ces postes que personne ne regarde. J'ai pensé à toi et au texte que tu as posté sur ton blog à propos de Second Life. J'ai radoté sur quelques trucs, mais au fond mes propos étaient basés sur cette petite phrase de Pascal que je trouve très juste:

"Tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre."

incognit-ho a dit…

Certains parviennent à dormir... (mais ce n'est pas très rentable, économiquement).