Ils sont tarés. Quelle différence y a-t-il
(de contenu) entre V.D et K?
Les années, peut-être... On publiait
autrefois ce qu'on censure aujourd'hui.
Cela dit, ça m'est complètement
égal.
mercredi, février 22, 2006
mardi, février 21, 2006
dimanche, février 19, 2006
samedi, février 18, 2006
mardi, février 14, 2006
lundi, février 13, 2006
Le voyeur
L'autre fois, A. me racontait qu'une femme
dont il était fou amoureux (blonde, peau blanche,
type allemande) vivait désormais avec son voyeur.
"Tu te rends compte! me disait-il en dévalant la
calle Muntaner.
- Comment ça, son "voyeur"?
- Un type qui passait son temps à la regarder
dans l'immeuble d'en face...
- Et alors? Qu'est-ce qu'il y a de si étonnant,
au moins elle était sûre de l'intéresser..."
dont il était fou amoureux (blonde, peau blanche,
type allemande) vivait désormais avec son voyeur.
"Tu te rends compte! me disait-il en dévalant la
calle Muntaner.
- Comment ça, son "voyeur"?
- Un type qui passait son temps à la regarder
dans l'immeuble d'en face...
- Et alors? Qu'est-ce qu'il y a de si étonnant,
au moins elle était sûre de l'intéresser..."
vendredi, février 10, 2006
Hâte-toi lentement
Comme après un film qui bouleverse,
une exposition remarquable,
un livre qui transporte, un voyage
hors de tout, un temps d'arrêt
m'est souvent nécessaire.
Assimiler l'impact, le palper, en définir
le poids dans les entrailles,
la circulation épaisse dans les veines,
sonder sa profondeur...
Alors et seulement alors, j'en ressors
différente, enrichie, autre et
régénérée.
C'est une parenthèse imposée
mais rarement refermée.
une exposition remarquable,
un livre qui transporte, un voyage
hors de tout, un temps d'arrêt
m'est souvent nécessaire.
Assimiler l'impact, le palper, en définir
le poids dans les entrailles,
la circulation épaisse dans les veines,
sonder sa profondeur...
Alors et seulement alors, j'en ressors
différente, enrichie, autre et
régénérée.
C'est une parenthèse imposée
mais rarement refermée.
mercredi, février 08, 2006
Désespérant
Et puis Paris s'est toujours moqué de mon mépris.
A croire que cette ville le fait exprès.
A croire que cette ville le fait exprès.
Post-scriptum
Parce que, il faut bien le préciser,
les fautes d'orthographe,
je n'en ai jamais rien eu à faire...
les fautes d'orthographe,
je n'en ai jamais rien eu à faire...
Réflexion
C'est amusant, moi, je ne changerais rien,
pas une virgule, pas un soupir...
Si, peut-être que je cesserais de croire
encore que des gens sont capables de
se mobiliser quand il le faut,
quand il y a urgence.
Du coup, je ne m'enerverais plus,
n'ayant plus le moindre espoir,
mais ça, ça viendra, avec le temps,
je suis tranquille.
C'est presque déjà venu.
Encore un petit effort de rien
du tout.
pas une virgule, pas un soupir...
Si, peut-être que je cesserais de croire
encore que des gens sont capables de
se mobiliser quand il le faut,
quand il y a urgence.
Du coup, je ne m'enerverais plus,
n'ayant plus le moindre espoir,
mais ça, ça viendra, avec le temps,
je suis tranquille.
C'est presque déjà venu.
Encore un petit effort de rien
du tout.
mardi, février 07, 2006
lundi, février 06, 2006
La ténacité du poète
Avant que je n'oublie, et pour lui rendre hommage,
à cet homme qui dans la rue insiste pour que je
prenne son poème, que je le lise, parce qu'une pièce
est un prétexte et que c'est lui qui l'a écrit :
"Le quité la mascara al amor
y encontré la amistad
Desnudé la amistad
y te hallé a tí
Desde entonces
ya no tiene sentido
la palabra soledad."
Duere
Un croquis accompagne ses mots,
singulièrement il s'agit d'une palmeraie,
d'une oasis, à gauche, croissant de lune et soleil en étoile.
Le soleil rend les gens heureux et aujourd'hui, c'est une belle journée.
Ce matin, j'ai rêvé de Z. à qui je dois téléphoner
depuis trois semaines au moins...
On devrait toujours appeler les gens tout de suite après avoir rêvé d'eux. (Ce n'est pas la citation exacte.)
à cet homme qui dans la rue insiste pour que je
prenne son poème, que je le lise, parce qu'une pièce
est un prétexte et que c'est lui qui l'a écrit :
"Le quité la mascara al amor
y encontré la amistad
Desnudé la amistad
y te hallé a tí
Desde entonces
ya no tiene sentido
la palabra soledad."
Duere
Un croquis accompagne ses mots,
singulièrement il s'agit d'une palmeraie,
d'une oasis, à gauche, croissant de lune et soleil en étoile.
Le soleil rend les gens heureux et aujourd'hui, c'est une belle journée.
Ce matin, j'ai rêvé de Z. à qui je dois téléphoner
depuis trois semaines au moins...
On devrait toujours appeler les gens tout de suite après avoir rêvé d'eux. (Ce n'est pas la citation exacte.)
Questions
Je ne sais pas, je ne peux pas comparer, je n'ai aucune idée mais j'ai l'impression d'avoir abattu une montagne (qui ne remue pas pour autant, à peine une avalanche sur le flanc droit). Et j'en ai plein les bottes!
dimanche, février 05, 2006
mercredi, février 01, 2006
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