Je ne veux même pas savoir pour le James Bond. Par contre Blade Runner je le reverrai bien. Mais tu as loué quelle version? La première version ou le director's cut (ou un truc dans le genre)? Parce que les fins sont totalement différentes.
C'est vrai. La différence entre les deux versions, je crois, c'est que l'une est accompagnée d'une narration alors que l'autre ne l'est pas. La narration tranche en faveur d’une interprétation du film, surtout à la fin, aux dépens d’une autre bien plus intéressante, justement celle que le directeur aurait préférée.
Heu... pas de narration... il s'enfuit avec elle (il a retrouvé une figurine en papier, laissé par l'autre) sur le palier. (Decker, traduit Dackard? Je ne sais plus.) Très beau mais est-ce la bonne version...?
C'est peut être Decard, je ne me souviens plus très bien. La petite figurine, c'est une indice. Dans la narration, on dit que l'unicorne en papier représente la jeune femme, Rachèle, parce qu'elle est censé être unique: elle ne meurre pas après trois ans comme les autres replicants. Mais Ridley Scott voulait transmettre un autre message avec l'unicorne. Devine lequel....
Le livre est assez différent (moins bon que le film à mon avis), mais la fin correspond plutôt à celle que Ridley Scott ne voulait pas pour son film.
Voici un autre indice: Il y a un unicorne qui apparaît plus tôt dans le film. Et c'est justement la nature de cette première apparition qui rend le petit unicorne en papier si significatif. Mais tu as peut-être deviné sa signification depuis déjà longtemps...
Oui, (en français, la licorne) dont il rêve quand il est chez lui, sur son piano. Est-il déjà avec elle dans ce rêve? Ce que j'aime par-dessus tout, c'est ce moment de fatigue où, épuisé, il s'endort, la laissant presque en plan après qu'elle lui ait sauvé la vie. Il s'endort. Il n'en peut plus. Ça donne une épaisseur incroyable au personnage, il devient presque humain.
10 commentaires:
Je ne veux même pas savoir pour le James Bond.
Par contre Blade Runner je le reverrai bien.
Mais tu as loué quelle version?
La première version ou le director's cut (ou un truc dans le genre)?
Parce que les fins sont totalement différentes.
C'est vrai. La différence entre les deux versions, je crois, c'est que l'une est accompagnée d'une narration alors que l'autre ne l'est pas. La narration tranche en faveur d’une interprétation du film, surtout à la fin, aux dépens d’une autre bien plus intéressante, justement celle que le directeur aurait préférée.
Heu... pas de narration... il s'enfuit avec elle (il a retrouvé une figurine en papier, laissé par l'autre) sur le palier. (Decker, traduit Dackard? Je ne sais plus.) Très beau mais est-ce la bonne version...?
oups, laissée par l'autre.
C'est peut être Decard, je ne me souviens plus très bien. La petite figurine, c'est une indice. Dans la narration, on dit que l'unicorne en papier représente la jeune femme, Rachèle, parce qu'elle est censé être unique: elle ne meurre pas après trois ans comme les autres replicants. Mais Ridley Scott voulait transmettre un autre message avec l'unicorne. Devine lequel....
m'en souviens...
un indice...
censée...
et un soupir...
Je ne me souviens plus de la fin du livre. Etait-ce la même?
Deux soupirs...
Le livre est assez différent (moins bon que le film à mon avis), mais la fin correspond plutôt à celle que Ridley Scott ne voulait pas pour son film.
Voici un autre indice: Il y a un unicorne qui apparaît plus tôt dans le film. Et c'est justement la nature de cette première apparition qui rend le petit unicorne en papier si significatif. Mais tu as peut-être deviné sa signification depuis déjà longtemps...
Oui, (en français, la licorne) dont il rêve quand il est chez lui, sur son piano. Est-il déjà avec elle dans ce rêve?
Ce que j'aime par-dessus tout, c'est ce moment de fatigue où, épuisé, il s'endort, la laissant presque en plan après qu'elle lui ait sauvé la vie. Il s'endort. Il n'en peut plus. Ça donne une épaisseur incroyable au personnage, il devient presque humain.
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