Il y avait un homme très riche. Il y avait un
homme très pauvre. Chacun d'eux avait un fils
et chacun d'eux vivait de part et d'autre d'une
grande colline. Un jour, l'homme très riche fit
monter son fils au sommet de la colline et,
embrassant tout le paysage d'un grand geste
de bras, il lui dit :
- Regarde, bientôt tout cela sera à toi !
Au même instant, l'homme très pauvre fit
monter son fils sur l'autre versant de la colline
et, devant le soleil levant qui illuminait la plaine,
il lui dit simplement :
- Regarde !
jeudi, novembre 30, 2006
mercredi, novembre 29, 2006
mardi, novembre 28, 2006
Incohérence
Je crois que rien ne m'horripile davantage
que l'incohérence, quelle qu'elle soit;
j'y ajoute aussitôt la gratuité,
et la gratuité conduit à la bêtise...
qui s'enfonce dans les méandres de l'horreur.
Certaines personnes ont lu ce blog
et prétendent qu'il est poétique;
je ne vois pour ma part aucune poésie,
à mon grand regret, il faut bien le dire,
mon rêve inavoué étant peut-être
d'écrire un jour un manifeste,
y compris à 80 ans,
disons, de signer une cohérence, qui
si elle m'est propre, participe d'un plus vaste projet
plus universel, enfin, je crois...
Un exemple, vite, trop vague ce charabia.
J'assiste ce soir à une conférence très intéressante
où l'on y apprend, entre autres choses,
que le français est une langue artificielle,
parlée par une élite parisienne
et que c'est le XIXème siècle qui unit langue
à nation, pour des raisons politiques clairement définies.
Bien.
La conférence était truffé d'anecdotes croustillantes,
à la fois parlantes et imagées. Le monsieur, d'une très grande élégance,
la voix posée, le timbre ajusté à la circonstance...
Bref, tout pour favoriser l'écoute,
malheureusement.
D'abord, comment peut-on parler de l'importance
d'une langue maternelle, de sa fonction structurante
pour l'individu lequel a perçu les premiers mots dans une langue L1,
comment peut-on feindre de chercher à convaincre son auditoire
de cet état de fait (pour ne pas dire évidence)
pour affirmer dans les minutes qui suivent
que la France enseigne une deuxième langue régionale ou européenne
dès le CE2.
Une langue régionale ou européenne?...
Bueno... Je voudrais savoir combien de langues parle ce monsieur.
Et pourquoi le sujet est-il à ce point inabordable?
Je ne sais pas, j'ai des questions qui me viennent à l'esprit,
des envies de débattre un peu plus profondément sur le sujet...
Mais pas ici, non, ce n'est pas le lieu.
que l'incohérence, quelle qu'elle soit;
j'y ajoute aussitôt la gratuité,
et la gratuité conduit à la bêtise...
qui s'enfonce dans les méandres de l'horreur.
Certaines personnes ont lu ce blog
et prétendent qu'il est poétique;
je ne vois pour ma part aucune poésie,
à mon grand regret, il faut bien le dire,
mon rêve inavoué étant peut-être
d'écrire un jour un manifeste,
y compris à 80 ans,
disons, de signer une cohérence, qui
si elle m'est propre, participe d'un plus vaste projet
plus universel, enfin, je crois...
Un exemple, vite, trop vague ce charabia.
J'assiste ce soir à une conférence très intéressante
où l'on y apprend, entre autres choses,
que le français est une langue artificielle,
parlée par une élite parisienne
et que c'est le XIXème siècle qui unit langue
à nation, pour des raisons politiques clairement définies.
Bien.
La conférence était truffé d'anecdotes croustillantes,
à la fois parlantes et imagées. Le monsieur, d'une très grande élégance,
la voix posée, le timbre ajusté à la circonstance...
Bref, tout pour favoriser l'écoute,
malheureusement.
D'abord, comment peut-on parler de l'importance
d'une langue maternelle, de sa fonction structurante
pour l'individu lequel a perçu les premiers mots dans une langue L1,
comment peut-on feindre de chercher à convaincre son auditoire
de cet état de fait (pour ne pas dire évidence)
pour affirmer dans les minutes qui suivent
que la France enseigne une deuxième langue régionale ou européenne
dès le CE2.
Une langue régionale ou européenne?...
Bueno... Je voudrais savoir combien de langues parle ce monsieur.
Et pourquoi le sujet est-il à ce point inabordable?
Je ne sais pas, j'ai des questions qui me viennent à l'esprit,
des envies de débattre un peu plus profondément sur le sujet...
Mais pas ici, non, ce n'est pas le lieu.
Pequeña prueba...
El hombre (o la sociedad) es
lo que dice,
lo que piensa
o lo que hace?
Y la escritura se asemeja más
a la palabra
o
al pensamiento?
lo que dice,
lo que piensa
o lo que hace?
Y la escritura se asemeja más
a la palabra
o
al pensamiento?
dimanche, novembre 26, 2006
samedi, novembre 25, 2006
Second Life
La face cachée de Second Life Des commerçants qui mettent la clé sous la porte, des citoyens qui manifestent devant l'Hôtel de Ville pour réclamer un geste politique, d'autres qui restent enfermés chez eux. Depuis début novembre, un vent de panique souffle dans Second Life, la communauté virtuelle en ligne où les membres peuvent interagir, acheter et vendre des biens, et se construire une fortune personnelle bien réelle. La raison de cette effervescence ? CopyBot, un virus qui permet de copier des objets ou des personnages du jeu et de les dupliquer, érodant par là même la valeur de ces biens. Mais CopyBot, et plus généralement la vulnérabilité de Second Life aux virus et autres vers, n'est pas la seule source de récrimination des membres. D'aucuns s'inquiètent également de la menace croissante des gangs organisés qui expulsent les membres des lieux publics. Aussi drôle que cela puisse paraître, il semble que le monde virtuel soit confronté à un réel problème : le crime. Les membres exigent désormais l'instauration dans Second Life d'un système d'ordre et de loi. La lutte pour la protection de la propriété privée est bel et bien l'apanage de toute société humaine, aussi virtuelle soit elle ! [Lire l'article de Business Week]
| |||
En Global Orgasm nos proponen que todas las parejas del mundo se dediquen a “generar” energía positiva
En Global Orgasm nos proponen que el 22 de Diciembre todas las parejas del mundo se dediquen a “generar” energía positiva, con el fin de reducir el mal rollito reinante en la Tierra actualmente (violencia, guerras, etc). Para ello todos los participantes se han de concentrar en pensar, durante y después del orgasmo, en la Paz durante esa jornada. Si millones de personas ese día nos concentramos en la paz (potenciado además por la energía positiva liberada durante el clímax sexual), podríamos llegar a modificar ese campo invisible que nos une, y que esto afectara al rumbo del Mundo (al menos mucho mas que con todas las oraciones, rezos y declaraciones de buenas intenciones que se hayan hecho hasta ahora). Los resultados serán monitorizados por el Global Consciousness Project.
¿Por qué? Porque dos flotas norteamericanas se dirigen al Golfo Pérsico con el objetivo de atacar Irán. Así que AHORA es el momento de cambiar la energía de la Tierra!
Orgasm Global suggère que le 22 décembre tous les couples du monde se consacrent à "produire" de l'énergie positive, afin de réduire le mal rollito régnant sur la Terre actuellement (violence, guerres, etc.). Pour cela tous les participants doivent se concentrer et penser, pendant et après l'orgasme, à la Paix pendant cette journée. Si ce jour-là des millions de personnes nous concentrons sur la Paix (renforcés en outre par l'énergie positive libérée pendant le climax sexuel), nous pourrions arriver à modifier ce domaine invisible qui nous unit, et ceci affecterait la direction du Monde (au moins beaucoup plus qu'avec tous les discours, prières et déclarations de bonnes intentions qui ont été faits jusqu'à présent). Les résultats seront évalués par le Consciousness Global Project.
Pourquoi ? Parce que deux flottes américaines se dirigent vers le Golfe Persique dans le but d'attaquer l'Iran. C'est donc MAINTENANT le moment de changer l'énergie de la Terre !
¿Por qué? Porque dos flotas norteamericanas se dirigen al Golfo Pérsico con el objetivo de atacar Irán. Así que AHORA es el momento de cambiar la energía de la Tierra!
Orgasm Global suggère que le 22 décembre tous les couples du monde se consacrent à "produire" de l'énergie positive, afin de réduire le mal rollito régnant sur la Terre actuellement (violence, guerres, etc.). Pour cela tous les participants doivent se concentrer et penser, pendant et après l'orgasme, à la Paix pendant cette journée. Si ce jour-là des millions de personnes nous concentrons sur la Paix (renforcés en outre par l'énergie positive libérée pendant le climax sexuel), nous pourrions arriver à modifier ce domaine invisible qui nous unit, et ceci affecterait la direction du Monde (au moins beaucoup plus qu'avec tous les discours, prières et déclarations de bonnes intentions qui ont été faits jusqu'à présent). Les résultats seront évalués par le Consciousness Global Project.
Pourquoi ? Parce que deux flottes américaines se dirigent vers le Golfe Persique dans le but d'attaquer l'Iran. C'est donc MAINTENANT le moment de changer l'énergie de la Terre !
mercredi, novembre 22, 2006
Rêves
Je fais des rêves épouvantables, en ce moment,
des rêves construits, avec un début et une chute
qui me réveillent en sursaut alors que je suis en nage.
Le dernier commence très fort :
je suis à la terrasse d'une belle maison qu'on m'a prêtée,
je lis, au soleil, au milieu des pins, en fin d'après-midi;
il fait doux et ça sent bon.
La grande route qui passe devant la demeure
est déserte. Seuls quelques moucherons s'agitent un peu
au-dessus de la balustrade en bois et viennent me taquiner
de temps à autres.
Soudain, une voiture décapotable s'arrête à ma hauteur.
Tous les moucherons foncent sur moi et me piquent les yeux;
je n'arrive donc pas à distinguer les passagers.
Je me dis : c'est mauvais signe...
En m'essuyant le visage, j'aperçois une femme blonde,
la trentaine. Elle est au volant, accompagnée de deux ou trois hommes,
me hèle et descend du véhicule.
Je la reconnais : c'est une ancienne élève d'un cours de théâtre,
croisée quelques années auparavant. Elle se dirige vers moi,
le sourire aux lèvres, suivie de ses compagnons.
Je l'accueille chaleureusement, leur propose d'entrer, de rester dîner avec nous;
M. est parti faire des courses, il ne va pas tarder.
On échange quelques mots,
elle travaille dans le show biz, prétend que les affaires vont bien.
M. arrive, dépose un canard emballé sous vide sur la table de la cuisine.
Un homme retire le plastique et découvre un morceau de foie gras, lui aussi sous plastique.
Il fait remarquer que le paquet dans son entier provient des Etats-Unis.
Plaisanteries sur la promotion du canard vendu avec le foie.
Nous sommes quatre ou cinq dans la cuisine; je débarrasse tout en faisant les présentations.
M. n'est pas très loquace et sort. Je reste seule avec la femme blonde;
nous faisons un brin de vaisselle. Elle me parle d'une fille incroyable,
Isabelle, que je dois, selon elle, rencontrer à tout prix.
Je l'écoute d'une oreille distraite.
Les hommes reviennent, suivis de cinq autres personnes,
dont cette "star", brune et insipide qui s'approche de M.
et lui susurre à l'oreille qu'elle s'appelle Isabelle,
ce à quoi M. répond sur un ton fort ironique
que son prénom est tout à fait original.
La cuisine est désormais envahie, c'est à peine si nous logeons tous.
Je regarde le canard avec tristesse car il est trop petit pour dix
mais tout le monde s'est déjà servi de foie gras.
M. qui n'a encore rien touché affiche son mécontentement.
J'annonce que nous n'avons plus assez de nourriture pour dîner ensemble.
Ils s'exclament que c'est bien suffisant et continuent à dévorer
tout ce qu'ils peuvent. Je suis obligée de m'écrier que
M. et moi n'avons pas envie de pique-niquer!
Mon agacement finit par les faire fuir de la cuisine.
Ils décident alors d'inspecter la maison, elle en tête,
qui s'extasie au moindre objet, ouvre grand chaque porte,
martèle le sol de ses talons... Une drôle de vieille femme
arpente les autres pièces de son côté. J'essaie de la suivre
et de comprendre son manège mais le bouton des interrupteurs
ne fonctionne pas lorsque celle-ci se trouve à l'intérieur,
ou plutôt elle s'allument et s'éteignent aussitôt, par intermittence...
Tout le monde s'éparpille dans la maison qui semble immense
car ils se faufilent dans des dépendances où je ne suis jamais allée.
Je retrouve M. dans l'une d'elles.
La blonde, accompagnée de deux ou trois hommes,
a forcé une lourde porte en bois cloutée et commente sans interruption
la splendeur des tomettes, l'espace disponible et la hauteur des plafonds.
M et moi nous asseyons dans un couloir,
sur une rangée de strapontins soudés au mur.
Nous convenons que la maison est vaste
et luxueuse, à notre grand étonnement.
En sortant, je remarque que de l'eau coule
à travers les poutres en bois qui recouvrent un patio.
Isabelle, offensée par le peu de cas que lui a fait M.
est en train de prendre un bain au premier étage.
Elle chantonne. Ça déborde jusque sur la terrasse qui longe la salle de bains.
Je trouve la manette dissimulée dans le patio et coupe l'arrivée d'eau
puis me remets à la recherche de cette vieille harpie
qui furète dans tous les coins. Je la retrouve dans le salon,
essaie d'allumer la lumière qui s'éteint, grésille et s'éteint à nouveau.
Elle est voûtée et s'accroche à un vieux sac à mains.
Tombant sur moi au sortir de la pièce, elle s'effraie horriblement.
Elle camoufle une paire de chaussures à paillettes sous son sac
et me regarde, interdite. Ces chaussures ne m'appartiennent pas.
Elle sont à la femme qui, avec son mari, m'a gentiment prêté la maison.
Je suis glacée d'effroi et me réveille enfin.
D'où vient cette parano? De la fatigue, peut-être...
des rêves construits, avec un début et une chute
qui me réveillent en sursaut alors que je suis en nage.
Le dernier commence très fort :
je suis à la terrasse d'une belle maison qu'on m'a prêtée,
je lis, au soleil, au milieu des pins, en fin d'après-midi;
il fait doux et ça sent bon.
La grande route qui passe devant la demeure
est déserte. Seuls quelques moucherons s'agitent un peu
au-dessus de la balustrade en bois et viennent me taquiner
de temps à autres.
Soudain, une voiture décapotable s'arrête à ma hauteur.
Tous les moucherons foncent sur moi et me piquent les yeux;
je n'arrive donc pas à distinguer les passagers.
Je me dis : c'est mauvais signe...
En m'essuyant le visage, j'aperçois une femme blonde,
la trentaine. Elle est au volant, accompagnée de deux ou trois hommes,
me hèle et descend du véhicule.
Je la reconnais : c'est une ancienne élève d'un cours de théâtre,
croisée quelques années auparavant. Elle se dirige vers moi,
le sourire aux lèvres, suivie de ses compagnons.
Je l'accueille chaleureusement, leur propose d'entrer, de rester dîner avec nous;
M. est parti faire des courses, il ne va pas tarder.
On échange quelques mots,
elle travaille dans le show biz, prétend que les affaires vont bien.
M. arrive, dépose un canard emballé sous vide sur la table de la cuisine.
Un homme retire le plastique et découvre un morceau de foie gras, lui aussi sous plastique.
Il fait remarquer que le paquet dans son entier provient des Etats-Unis.
Plaisanteries sur la promotion du canard vendu avec le foie.
Nous sommes quatre ou cinq dans la cuisine; je débarrasse tout en faisant les présentations.
M. n'est pas très loquace et sort. Je reste seule avec la femme blonde;
nous faisons un brin de vaisselle. Elle me parle d'une fille incroyable,
Isabelle, que je dois, selon elle, rencontrer à tout prix.
Je l'écoute d'une oreille distraite.
Les hommes reviennent, suivis de cinq autres personnes,
dont cette "star", brune et insipide qui s'approche de M.
et lui susurre à l'oreille qu'elle s'appelle Isabelle,
ce à quoi M. répond sur un ton fort ironique
que son prénom est tout à fait original.
La cuisine est désormais envahie, c'est à peine si nous logeons tous.
Je regarde le canard avec tristesse car il est trop petit pour dix
mais tout le monde s'est déjà servi de foie gras.
M. qui n'a encore rien touché affiche son mécontentement.
J'annonce que nous n'avons plus assez de nourriture pour dîner ensemble.
Ils s'exclament que c'est bien suffisant et continuent à dévorer
tout ce qu'ils peuvent. Je suis obligée de m'écrier que
M. et moi n'avons pas envie de pique-niquer!
Mon agacement finit par les faire fuir de la cuisine.
Ils décident alors d'inspecter la maison, elle en tête,
qui s'extasie au moindre objet, ouvre grand chaque porte,
martèle le sol de ses talons... Une drôle de vieille femme
arpente les autres pièces de son côté. J'essaie de la suivre
et de comprendre son manège mais le bouton des interrupteurs
ne fonctionne pas lorsque celle-ci se trouve à l'intérieur,
ou plutôt elle s'allument et s'éteignent aussitôt, par intermittence...
Tout le monde s'éparpille dans la maison qui semble immense
car ils se faufilent dans des dépendances où je ne suis jamais allée.
Je retrouve M. dans l'une d'elles.
La blonde, accompagnée de deux ou trois hommes,
a forcé une lourde porte en bois cloutée et commente sans interruption
la splendeur des tomettes, l'espace disponible et la hauteur des plafonds.
M et moi nous asseyons dans un couloir,
sur une rangée de strapontins soudés au mur.
Nous convenons que la maison est vaste
et luxueuse, à notre grand étonnement.
En sortant, je remarque que de l'eau coule
à travers les poutres en bois qui recouvrent un patio.
Isabelle, offensée par le peu de cas que lui a fait M.
est en train de prendre un bain au premier étage.
Elle chantonne. Ça déborde jusque sur la terrasse qui longe la salle de bains.
Je trouve la manette dissimulée dans le patio et coupe l'arrivée d'eau
puis me remets à la recherche de cette vieille harpie
qui furète dans tous les coins. Je la retrouve dans le salon,
essaie d'allumer la lumière qui s'éteint, grésille et s'éteint à nouveau.
Elle est voûtée et s'accroche à un vieux sac à mains.
Tombant sur moi au sortir de la pièce, elle s'effraie horriblement.
Elle camoufle une paire de chaussures à paillettes sous son sac
et me regarde, interdite. Ces chaussures ne m'appartiennent pas.
Elle sont à la femme qui, avec son mari, m'a gentiment prêté la maison.
Je suis glacée d'effroi et me réveille enfin.
D'où vient cette parano? De la fatigue, peut-être...
mardi, novembre 21, 2006
Harmonie
Ce qui compte, c'est d'être d'accord,
un peu avant, un peu après,
et on est toujours d'accord,
y compris dans la rupture.
Ferait mieux de faire un film,
tiens, au lieu de se fatiguer
à se fatiguer...
un peu avant, un peu après,
et on est toujours d'accord,
y compris dans la rupture.
Ferait mieux de faire un film,
tiens, au lieu de se fatiguer
à se fatiguer...
Qu'on se le dise
En moyenne, je mets de six à huit mois
pour comprendre les commentaires
qu'on me laisse,
alors les posts, ça peut mettre des années...
et je ne parle pas des mails...
pour comprendre les commentaires
qu'on me laisse,
alors les posts, ça peut mettre des années...
et je ne parle pas des mails...
dimanche, novembre 19, 2006
Ideas claras
Ça commence
J'en profite
Je lis
Je reçois
Je pense
J'en profite
Je lis
Je reçois
Je pense
Y esto
Guillermito
Paris Match
Des années
Il paraît
Paris Match
Des années
Il paraît
Antithèse
Al escribir
Nadie se entera
Al escribir en francés, nadie se entera.
Eso me dijo mi amigo Carlos que me empuja
por lo tanto a escribir esta nota en español
ya que quiero enseñar parte de una obra,
llamado Blogromance
escrita en castellano y presentada este año
en el Antic Teatre de Barcelona con actores
(voces, mejor dicho) españolas.
Todavía me quedo sin saber cómo se puede
subir a un blog el documento lleno de fotos
y algunas animaciones montado en Flash.
Sé que existe la posibilidad de filmarlo
gracias a Guillem (pero dudo un poco de la calidad
del resultado). También es posible hacerlo
abriendo una página web usando dreamweaver
y ftp pero de momento no quiero página web.
Así que, el trabajo se limita a una banda sonora
un pelín cortada...
Pero ya está dicho, ¡y en lengua cristiana!
Así que si a alguien le interesa, para festival
o lo que sea, estoy aquí (y allá).
Eso me dijo mi amigo Carlos que me empuja
por lo tanto a escribir esta nota en español
ya que quiero enseñar parte de una obra,
llamado Blogromance
escrita en castellano y presentada este año
en el Antic Teatre de Barcelona con actores
(voces, mejor dicho) españolas.
Todavía me quedo sin saber cómo se puede
subir a un blog el documento lleno de fotos
y algunas animaciones montado en Flash.
Sé que existe la posibilidad de filmarlo
gracias a Guillem (pero dudo un poco de la calidad
del resultado). También es posible hacerlo
abriendo una página web usando dreamweaver
y ftp pero de momento no quiero página web.
Así que, el trabajo se limita a una banda sonora
un pelín cortada...
Pero ya está dicho, ¡y en lengua cristiana!
Así que si a alguien le interesa, para festival
o lo que sea, estoy aquí (y allá).
samedi, novembre 18, 2006
La roue tourne
Des années d'absence, de silence pour certains...
je les retrouve sur le pied de guerre.
Oriol Bordas, renaissant de ses cendres au Palau de la Música,
José Angel Alcalde, traducteur de
Los Formalistas rusos y el cine : la poética del filme
de François Albèra (Barcelona : Paidós, 1998) enfin fiché sur la toile,
Daniel dont le premier film semble être sorti cet été,
et qui se lance dans la critique, sur un blog...
(où l'on ne peut pas laisser de message...
voyons... est-ce bien lui...?)
Les années passent...
Zinedine continue à organiser des raids en ULM,
Sophie tourne avec Deneuve
Monica s'apprête à affronter les Dents de la mer,
Toni s'envole préparer son prochain spectacle à Londres
P.V se bat en ligne pour sa profession,
José Luis est sur le montage, tout comme Rohmer,
Nicolas s'attaque à Kafka,
Dom, à "la machine", à Copi, aux bouffons...
Quel réconfort...
Une note optimiste, d'autant que cet écran,
tout à l'heure, va laisser place à de vrais visages,
de vraies odeurs et au regard qui ne trompe pas.
Fiesta entre gens en chair et en os. Ouf...!
Dommage que Manuel M. soit en Andalousie,
sa réponse aux attaques subies par les profs est une leçon à part entière.
On ne blablatte pas en Espagne, on va droit au but.
Mais faut-il rappeler que ce pays en sait long sur l'Histoire,
la sienne est une véritable épopée, digne des plus grands romans d'aventures
(lire l'ouvrage de Joseph Pérez sur la question).
Alors je repense à cette remarque,
si profondément idiote :
(on parlait de tabac mais on aurait pu évoquer autre chose)
- Tu vois, lui disais-je, ici, la loi a laissé les petits troquets décider,
du coup, certains commerçants admettent les fumeurs, d'autres non.
- Ah mais c'est n'importe quoi! Si la loi est votée,
elle est la même pour tous; tout le monde doit l'appliquer!
- Oui... C'est d'ailleurs pour ça que tu habites en France,
et moi en Espagne...
Amparanoia - Rebeldía con alegría - "Somos viento"
je les retrouve sur le pied de guerre.
Oriol Bordas, renaissant de ses cendres au Palau de la Música,
José Angel Alcalde, traducteur de
Los Formalistas rusos y el cine : la poética del filme
de François Albèra (Barcelona : Paidós, 1998) enfin fiché sur la toile,
Daniel dont le premier film semble être sorti cet été,
et qui se lance dans la critique, sur un blog...
(où l'on ne peut pas laisser de message...
voyons... est-ce bien lui...?)
Les années passent...
Zinedine continue à organiser des raids en ULM,
Sophie tourne avec Deneuve
Monica s'apprête à affronter les Dents de la mer,
Toni s'envole préparer son prochain spectacle à Londres
P.V se bat en ligne pour sa profession,
José Luis est sur le montage, tout comme Rohmer,
Nicolas s'attaque à Kafka,
Dom, à "la machine", à Copi, aux bouffons...
Quel réconfort...
Une note optimiste, d'autant que cet écran,
tout à l'heure, va laisser place à de vrais visages,
de vraies odeurs et au regard qui ne trompe pas.
Fiesta entre gens en chair et en os. Ouf...!
Dommage que Manuel M. soit en Andalousie,
sa réponse aux attaques subies par les profs est une leçon à part entière.
On ne blablatte pas en Espagne, on va droit au but.
Mais faut-il rappeler que ce pays en sait long sur l'Histoire,
la sienne est une véritable épopée, digne des plus grands romans d'aventures
(lire l'ouvrage de Joseph Pérez sur la question).
Alors je repense à cette remarque,
si profondément idiote :
(on parlait de tabac mais on aurait pu évoquer autre chose)
- Tu vois, lui disais-je, ici, la loi a laissé les petits troquets décider,
du coup, certains commerçants admettent les fumeurs, d'autres non.
- Ah mais c'est n'importe quoi! Si la loi est votée,
elle est la même pour tous; tout le monde doit l'appliquer!
- Oui... C'est d'ailleurs pour ça que tu habites en France,
et moi en Espagne...
Amparanoia - Rebeldía con alegría - "Somos viento"
vendredi, novembre 17, 2006
Gros plan sur la France
Paris Match
serait le magazine d'actualités le plus vendu en France (600 000 exemplaires chaque semaine environ) ...
Mais qu'est-ce qu'on a fait pour mériter ça?
serait le magazine d'actualités le plus vendu en France (600 000 exemplaires chaque semaine environ) ...
Mais qu'est-ce qu'on a fait pour mériter ça?
jeudi, novembre 16, 2006
mercredi, novembre 15, 2006
¡Y esto para Fortknox!
Carlos Atanes acaba de rodar su segundo largo metraje y hoy sale a la venta su primero en dvd.
O sea que : ¡Enhorabuena!
mardi, novembre 14, 2006
A l'écoute
lundi, novembre 13, 2006
Lecture
Je lis, ou plutôt je dévore
ce roman de Yasmina Khadra.
Au diable le style, si l'écriture est au service
de la pensée.
ce roman de Yasmina Khadra.
Au diable le style, si l'écriture est au service
de la pensée.
dimanche, novembre 12, 2006
La Chine et ses multiples facettes
J'en profite pour visionner toutes les petites vidéos
de Christophe Atabekian, sur la Chine...
Deux remarques :
1) Il faut bien reconnaître que DailyMotion transmet plus vite...
2) Christophe Atabekian, c'est le Jean Rouch de notre génération.
(Heu... peut-on, est-il possible de recevoir cette sentence comme une comparaison insultante?)
de Christophe Atabekian, sur la Chine...
Deux remarques :
1) Il faut bien reconnaître que DailyMotion transmet plus vite...
2) Christophe Atabekian, c'est le Jean Rouch de notre génération.
(Heu... peut-on, est-il possible de recevoir cette sentence comme une comparaison insultante?)
mercredi, novembre 08, 2006
mardi, novembre 07, 2006
Octubre
Il fut un temps
Soudain
Le paysage
Magnifique interview
Je lis
Il y a longtemps
En ce moment
Elle
Ça me fait penser
On n'en avait pas
Et en plus
Si j'ai bien compris
Pourtant,
Et si on organisait
Proposition 2
Entendu
Objets
Ce serait
Ryan Adams
Johnny Cash
Donc
Fragment final
cette façon
Contre une poignée
- On ira
Soudain
Le paysage
Magnifique interview
Je lis
Il y a longtemps
En ce moment
Elle
Ça me fait penser
On n'en avait pas
Et en plus
Si j'ai bien compris
Pourtant,
Et si on organisait
Proposition 2
Entendu
Objets
Ce serait
Ryan Adams
Johnny Cash
Donc
Fragment final
cette façon
Contre une poignée
- On ira
Mémoire visuelle
- On ira donc là-bas, retrouver les autres, tous les autres.
- Comment ça s'écrit?
- S.a.u.z.é-V.a.u.s.s.a.i.s, tu me le demandes à chaque fois.
- Cette fois, on ne va pas rentrer... on est trop nombreux.
- Comment ça s'écrit?
- S.a.u.z.é-V.a.u.s.s.a.i.s, tu me le demandes à chaque fois.
- Cette fois, on ne va pas rentrer... on est trop nombreux.
lundi, novembre 06, 2006
Voilà
cette façon de parler, de parler, de commenter plus qu'il n'en faut, de broder presque, C.de Zohiloff
mercredi, novembre 01, 2006
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