En fait, c'est ça,
la seule et vraie définition
du souffle de vie :
osciller entre les fleurs et la claque,
dose savamment réfléchie,
limites intelligemment définies,
Rufus Wainwright - The one you love
untel parlait aussi de résistance,
qu'il en fallait, mais pas trop,
mais qu'il en fallait quand même.
Dosage.
Subtilités de l'inconscient.
Jeu : "Je te tiens, tu me tiens
par la barbichette..."
Pas d'analyse.
Interdiction formelle
(pour la femelle).
Donc, contrer, s'opposer,
apprendre à lire,
à dire.
On peut aussi,
disait untel,
mais il faut s'attendre aux coups.
Si j'étais morte,
comme le disait untel,
alors je n'aurais que faire des coups.
Et puis les coups,
on les reçoit et on les rend,
parfois.
Parfois, on oublie aussi
de les rendre. On oublie.
On s'indiffère,
on se distrait,
parfois.
Dosages.
Parfois, on se souvient juste
d'avoir vécu. Et on est trop content,
parfois, mais pas toujours.
Equilibre.
Avec l'âge, la machine se détraque, disait un autre.
"J'y pense et puis j'oublie,
c'est la vie, c'est la vie..."
mardi, juin 20, 2006
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