Ça me fait penser à un pianiste qui me disait au beau milieu d'un cours :
"Ce qui compte, ce n'est pas qu'on parle de toi, en bien ou en mal - il se référait à lui, à son oeuvre- ce qui compte, c'est qu'on en parle." J'avais repris le boogie-woogie (ou boogie-boogie, je ne sais plus), sur lequel je m'acharnais sans grand succès en essayant de comprendre le sens de ses mots, du haut de mes 13 ou 14 ans.
Du coup, je me souviens de "Rois et reines", de Arnaud Desplechin, toujours pas vu, même en dvd.
jeudi, novembre 29, 2007
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